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Zones d'importance écologique et biologique dans l'estuaire et le golfe du St-Laurent
Identification des zones d’importance écologique et biologique (ZIEB) pour l’estuaire et le golfe du St-Laurent selon six groupes de la chaîne alimentaire : la production primaire (Lavoie et al, 2007), la production secondaire (Plourde et McQuinn, 2010), le méroplancton (Ouellet, 2007), les invertébrés benthiques (Chabot et al, 2007), les poissons démersaux (Castonguay et Valois, 2007) et les poissons pélagiques (McQuinn et al, 2012). L’aire de distribution de chacun des groupes a été évaluée selon cinq critères afin d’établir les ZIEB (DFO, 2004) :1. L’unicité : Classement décroissant depuis les zones aux caractéristiques uniques, rares et distinctes et pour lesquelles aucune solution de rechange n’existe jusqu’aux zones aux caractéristiques répandues dans nombre d’autres endroits présentant des caractéristiques importantes semblables2. Concentration : Classement décroissant depuis les zones où la plupart des individus d’une espèce se regroupent jusqu’aux zones où les individus d’une espèce sont dispersés.3. Conséquence sur la valeur adaptive : Classement décroissant depuis les zones où les activités du cycle biologique entreprises contribuent de façon importante à la valeur adaptative de la population ou des espèces présentes jusqu’aux zones où les activités du cycle biologique entreprises contribuent faiblement à la valeur adaptative. 4. Résilience : Classement décroissant depuis les zones où les structures d’habitat ou les espèces sont extrêmement vulnérables, faciles à perturber et lentes à récupérer jusqu’aux zones où les structures de l’habitat ou les espèces sont robustes, résistantes aux perturbations ou capables de revenir rapidement à leur état initial. 5. Caractère naturel (sensibilité aux perturbations) : Classement décroissant depuis les zones vierges et caractérisées par des espèces indigènes jusqu’aux zones fortement perturbées par des activités anthropiques ou par une forte abondance d’espèces introduites ou cultivées.Castonguay, M. and Valois, S. 2007. Zones d’importance écologique et biologique pour les poissons démersaux dans le nord du Golfe du Saint-Laurent. DFO Can. Sci. Advis. Sec. Res. Doc. 2007/014. iii + 34 p.Chabot, D., Rondeau A., Sainte-Marie B., Savard L., Surette T. et Archambault P. 2007. Distribution des invertébrés benthiques dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent. DFO Can. Sci. Advis. Sec. Res. Doc. 2007/018. iii + 118 p.DFO, 2004. Identification des zones d’importance écologique et biologique. DFO Can. Sci. Advis. Sec. Ecosystem Status Rep. 2004/006.Lavoie, D., Starr, M., Zakardjian, B. and Larouche, P. 2007. Identification of ecologically and biologically significant areas (EBSA) in the Estuary and Gulf of St. Lawrence: Primary production. DFO Can. Sci. Advis. Sec. Res. Doc. 2007/079. iii + 29 p.McQuinn, I.H., Bourassa, M-N., Tournois, C., Grégoire, F., and Baril, D. 2012. Ecologically andbiologically significant areas in the Estuary and Gulf of St. Lawrence: small pelagic fishes.DFO Can. Sci. Advis. Sec. Res. Doc. 2012/087. iii + 76 p.Ouellet P. 2007. Contribution à l’identification de zones d’importance écologique et biologique (ZIEB) pour l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent : La couche des oeufs et des larves de poissons et de crustacés décapodes. DFO Can. Sci. Advis. Sec. Res. Doc. 2007/011. iii + 76 p. (Mise à jour novembre 2010)Plourde, S. et McQuinn, I.A. 2010. Zones d’importance écologique et biologique dans le golfe du Saint-Laurent : zooplancton et production secondaire. DFO Can. Sci. Advis. Sec. Res. Doc. 2009/104. iv + 27 p.
Zones d'importance écologique et biologique
Les zones d'importance écologique et biologique (ZIEB) sont des zones au sein des eaux océaniques canadiennesque des évaluations scientifiques officielles ont désignées comme ayant une importance écologique et biologique particulière par rapport à l'écosystème marin environnant.Le fait qu'une zone n'ait pas été désignée comme ayant une importance écologique et biologique ne signifie pas pour autant qu'elle n'a pas une importance écologique. Toutes les zones assument des fonctions écologiques dans une certaine mesure et exigent une gestion durable. Les zones désignées comme des ZIEB devraient plutôt être vues comme des zones extrêmement importantes, où les connaissances, les législateurs et les utilisateurs des ressources marines doivent exercer une grande prudence eu égard au risque, afin de veiller à ce que les écosystèmes restent sains et productifs.Pourquoi des ZIEB sont-elles désignées?Les renseignements relatifs à ces aires sont utilisés pour appuyer la planification marine, notamment l'évaluation environnementale et la mise en place d'activités marines:- En informant et guidant les industries et les législateurs pour une planification et une conduite d'activités optimale, par exemple: les zones d'importance écologique et biologique ont été prises en compte et mentionnées dans les évaluations portant sur le pétrole et le gaz.- Des renseignements ont été fournis aux promoteurs de projets de câbles sous-marins, afin de les aider à en déterminer les tracés.- En information et en guidant le processus de gestion intégrée des océans dans cinq zones étendues de gestion des océans et 12 biorégions marines.- En servant de fondement pour la détermination des zones d'intérêt et des zones de protection marines (de manière individuelle et dans le cadre de la planification des réseaux biorégionaux de zones de protection marines).Comment désigne-t-on les zones d'importance écologique et biologique?Le processus utilisé pour désigner les zones d'importance écologique et biologique comprend généralement deux étapes. La première étape consiste à recueillir des données scientifiques et des connaissances relatives aux écosystèmes d'une aire marine, notamment les espèces de poissons, de mammifères marins et d'oiseaux marins, la flore marine, la productivité marine, les conditions physiques et chimiques, et la géologie. Les « connaissances » comprennent les connaissances empiriques des utilisateurs de longue date de ces aires. Dans certains cas (p. ex. dans l'Arctique), d'importants efforts sont déployés pour réunir les connaissances traditionnelles sur les écosystèmes et les conditions environnementales des membres des communautés, des pêcheurs, des chasseurs et des personnes dont la connaissance de la zone étudiée complète l'information existante et permet souvent d'aider à combler les lacunes dans les données scientifiques.La deuxième étape consiste à évaluer l'information disponible relative à une aire marine (p. ex., une biorégion) en utilisant cinq critères scientifiques nationaux:- La spécificité: dans quelle mesure l'écosystème d'une aire est-il distinct des écosystèmes environnants?- La concentration: l'aire étudiée abrite-t-elle des espèces ou est-elle un lieu de regroupement d'espèces?- Les conséquences sur la valeur adaptative: dans quelle mesure l'aire est-elle vitale pour le cycle biologique des espèces qui l'utilisent (p. ex., est-ce une zone de frai ou d'alimentation?- Le caractère naturel: dans quelle mesure la zone étudiée est-elle demeurée intacte ou est-elle perturbée par les activités humaines?- La résilience: dans quelle mesure l'écosystème est-il capable de se rétablir s'il est perturbé?Progrès réalisés à ce jour et prochaines étapesDes zones d'importance écologique et biologique ont été désignées dans une grande partie des eaux océaniques de l'Atlantique et du Pacifique canadien, ainsi que dans la quasi-totalité de l'océan Arctique. À mesure que des ressources seront disponibles pour mener à bien le processus, des zones d'importance écologique et biologique continueront à être désignées dans les zones prioritaires. Les limites ou les emplacements des zones d'importance écologique et biologique existantes sont susceptibles d'être modifiés pour refléter les nouvelles connaissances et conditions environnementales.
RCBA Réseau Canadien de Biosurveillance Aquatique
Le Réseau canadien de biosurveillance aquatique (RCBA) est un programme de biosurveillance aquatique visant à évaluer la santé des écosystèmes d'eau douce au Canada. Les macroinvertébrés benthiques sont récoltés sur un site et leurs dénombrements sont utilisés comme indicateurs de la santé de ce plan d'eau. Le RCBA se base sur l'approche du réseau de réseaux qui favorise la collaboration interorganisationnelle et le partage de données afin de produire des rapports cohérents et comparables sur la qualité de l'eau douce et les conditions des écosystèmes aquatiques au Canada. Le programme est mis à jour par Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) pour soutenir la récolte, l'évaluation, la production de rapports et la distribution d'information sur la surveillance biologique. Un ensemble de protocoles RCBA normalisés à l'échelle nationale est utilisé pour la collecte sur le terrain, les travaux de laboratoire et l'analyse des données de surveillance biologique. Un programme de formation est disponible pour la certification des participants aux protocoles normalisés. Il y a deux types de sites dans la base de données RCBA (référence et test). Les sites de référence représentent les habitats les plus proches de «l’état naturel» avant toute perturbation anthropique. Les données provenant des sites de référence servent à créer des modèles de référence que les partenaires du RCBA utilisent pour évaluer leurs sites test selon une approche connue sous le nom d'approche des conditions de référence (ACR). À l'aide des modèles d'ACR, les partenaires du RCBA jumellent leurs sites test à des groupes de sites de référence pour des habitats similaires et comparent les communautés de macroinvertébrés observées. L'importance des divergences entre les communautés de sites test et les communautés de sites de référence permet aux partenaires du RCBA d'estimer la gravité des impacts à ces endroits. Les échantillons RCBA ont été récoltés depuis 1987 et sont organisés dans la base de données par étude (projet partenaire). Chaque étude comporte des données sur les sites, les habitats et les invertébrés benthiques, et ceci dans les 11 principaux bassins hydrologiques (MDA) du Canada. Des liens vers des données complémentaires sur la qualité de l'eau sont fournis lorsqu'elles sont disponibles. Les visites peuvent être effectuées au même endroit au fil du temps, les visites récurrentes étant identifiées par un nom d'étude / un code de site identique avec des dates différentes. Toutes les données recueillies par le gouvernement fédéral sont disponibles sur Open Data, et de plus en plus de partenaires y ajoutent continuellement leurs données. Les fichiers csv sont mis à jour sur une base mensuelle. Contactez le responsable d'étude RCBA pour demander l'autorisation d'accéder aux données non libres.
Écologie Reproductive de Zostera marina L. (Zostère marine) dans Diverses Conditions Environnementales
La reproduction sexuée est essentielle à la résilience des herbiers marins touchés par la dégradation de l'habitat ou les changements environnementaux, car des banques de semences robustes permettent à de nouvelles pousses de s'établir chaque année. Les stratégies de reproduction des herbiers marins s'étendent sur un continuum allant de strictement annuel à vivace, en fonction des conditions environnementales locales. Nous avons examiné la dynamique de reproduction des herbiers de Zostera marina sur six sites de la côte atlantique du Canada afin de caractériser la manière dont les stratégies du cycle de vie sont façonnées par le milieu environnant. Les sites ont été classés comme protégés contre les vagues et exposés aux vagues, où les sites protégés étaient chauds, peu profonds, avec peu de mouvement d'eau et des sédiments boueux, et les sites exposés étaient peu profonds ou profonds, avec de l'eau plus froide et des sédiments sableux. Alors que des stratégies de cycle biologique mixtes étaient évidentes à tous les sites, les herbiers de zostères protégés présentaient à la fois l'effort de reproduction sexuelle le plus élevé et le plus faible par rapport aux herbiers exposés. Ces herbiers subissaient régulièrement des contraintes thermiques, avec une plage de température plus élevée et des épisodes de fortes températures d’eau prolongés par rapport aux herbiers exposés. Le développement des pousses reproductrices était similaire dans tous les sites avec des degrés-jours de croissance comparables au début et à la fin de l'anthèse, mais la première date de floraison était plus précoce dans les sites protégés plus chauds par rapport aux sites exposés. Avec différentes densités de pousses reproductrices entre les sites, la production de graines, la rétention des graines et le recrutement des semis ont également fortement varié. Un seul site, situé dans une lagune chaude, peu profonde et protégée, contenait une population à cycle biologique mixte avec un effort de reproduction élevé (33,7 %), une banque de graines solide et un établissement de semis élevé. Cependant, une population principalement pérenne avec le plus faible effort de reproduction (0,5%) a été identifiée sur le site le plus chaud, ce qui suggère que les conditions ici ne pouvaient pas soutenir une reproduction sexuée élevée. La robustesse des banques de graines était fortement liée à la densité des pousses reproductrices, bien que le rôle de la rétention des graines, de la germination et de la survie des semis nécessite une étude plus approfondie. Notre étude donne un aperçu d'un aspect clé de la résilience des herbiers marins et suggère que les évaluations de la résilience devraient inclure la densité des pousses reproductrices pour éclairer la gestion et la protection des herbiers.Citer ces données comme suit : Vercaemer B. et Wong M. Écologie reproductive de Zostera marina L. (zostère marine) dans diverses conditions environnementales. Date de publication Mai 2022. Division de la science des écosystèmes côtiers, Pêches et Océans Canada, Dartmouth, (N-É). https://open.canada.ca/data/fr/dataset/56cfea6f-aeca-47ed-94ab-c519d9e63c91
Données climatologiques saisonnières sur le carbone inorganique dissous de la zone économique exclusive canadienne de l’océan Pacifique provenant du modèle de la MCCB (1993-2020)
Description:La moyenne des concentrations en carbone inorganique dissous moyennes saisonnières a été calculée pour la période de 1993 à 2020 afin d’obtenir des données climatologiques moyennes pour la zone économique exclusive canadienne de l’océan Pacifique. Méthodes :Les données comprennent les concentrations en carbone inorganique dissous relevée jusqu’à 46 niveaux verticaux interpolés de façon linéaire, de la surface à 2 400 mètres de profondeur ainsi qu’au fond de l’océan. Les mois de printemps étaient définis comme allant d’avril à juin, ceux d’été comme allant de juillet à septembre, ceux d’automne comme allant d’octobre à décembre et ceux d’hiver comme allant de janvier à mars. Les données disponibles ici contiennent des couches matricielles de données climatologiques saisonnières sur les concentrations en carbone inorganique dissous pour la zone économique exclusive canadienne de l’océan Pacifique à une résolution spatiale de 3 km et pour 47 niveaux verticaux.Incertitudes:Les résultats du modèle ont fait l’objet d’une évaluation approfondie et ont été comparés aux observations (p. ex. altimétrie, profils CTP et d’éléments nutritifs, courants géostrophiques observés), ce qui a permis de révéler que le modèle peut reproduire avec une précision raisonnable les principales caractéristiques océanographiques de la région, y compris les caractéristiques importantes du cycle saisonnier et le gradient vertical et transversal des propriétés de l’eau. Cependant, la résolution du modèle est trop grossière pour offrir une représentation appropriée des bras de mer, des zones côtières et du détroit de Georgia.
Réseau canadien de surveillance radiologique – Le strontium 90 dans le lait
Cet ensemble de données présente les résultats obtenus par le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR) de Santé Canada sur l'activité volumique du 90Sr obtenus par la Section de la surveillance nationale, suite à l'analyse du lait prélevé à différents endroits partout au Canada. Pour plus de renseignements sur le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR), visitez le site web de Santé Canada (voir le lien ci-dessous). De 1984 à 1993, des données ont été recueillies dans 20 stations. Après 1993, toutes les stations de surveillance, à l'exception de celle d'Ottawa, ont cessé de mesurer systématiquement l'activité volumique du strontium radioactif dans le lait. Les résultats présentés ici portent sur l'activité volumique du 90Sr, exprimée en becquerels par litre (Bq/L). Le lait est un important milieu pour mesurer la radioactivité ambiante, car un grand nombre de radionucléides préoccupants pour la santé passent efficacement du sol au lait. La surveillance du lait donne donc une très bonne indication de la gravité des incidences environnementales qui sont observées après un incident nucléaire. Le strontium 90 (90Sr) est un radionucléide particulièrement préoccupant, en raison de sa longue demi vie radiologique et biologique, et de sa haute affinité pour les os et les dents humains. Les accidents et les essais d'armes nucléaires ont entraîné la libération, dans l'atmosphère, de ces radionucléides à longue durée de vie qui se sont ensuite introduits dans le cycle de vie biologique. Malgré cela, nous observons une diminution constante de l'activité volumique du 90Sr dans le lait, depuis que la plupart des essais d'armes nucléaires ont pris fin durant les années 1960. La carte montre l’emplacement approximatif pour chaque station de surveillance. Les stations se trouvent dans le périmètre de localisation associé.
Données des phares de la Colombie-Britannique (la température et salinité de surface de la mer), (Pacifique), 1914 à aujourd'hui
Depuis le début du 20e siècle, la température et salinité de surface de la mer ont été mesurées chaque jour à plusieurs endroits sur la côte de la Colombie-Britannique. Les observations ont commencé à la station biologique du Pacifique (Baie Departure) en 1914; 11 stations ont été ajoutées dans les années 1930, et plusieurs autres dans les années 1960. Le nombre de stations d'observation a varié parce que l'échantillonnage a été interrompu à certaines stations, et commencé ou repris à d'autres.Appelé le Programme de station côtière de Colombie-Britannique (PSCCB), ce projet consiste en 12 stations. La plupart des stations sont des phares opérés par Pêches et Océans Canada, mais trois (Race Rocks, Point Amphitrite et Passage Active) sont échantillonnés par des observateurs sous contrat.Les observations sont effectuées quotidiennement à l'aide d'eau de mer recueillies dans un seau abaissé dans l'eau de surface au moment de la haute marée diurne. Cette méthode d'échantillonnage a été conçue il y a bien longtemps par le Dr. John P. Tully et nous avons choisi de ne pas changer la stratégie afin d'avoir un ensemble de données homogènees. Par exemple, si un observateur commence à prélever le premier jour à 6h du matin, et continue à prélever à la haute marée diurne, le 2ème jour il/elle prendra des échantillons à environ 6h50 le jour suivant, 7h40 le jour d'après etc ... Quand la haute marée diurne approche 18h, l'échantillonnage est effectué de nouveau à 6h du matin et le cycle recommence. Puisque la température de surface de la mer a une variation jour / nuit, les données quotidiennes montrent un signal qui varie selon le cycle de marée de 14 jours. Cet artefact n'affecte pas les données mensuelles de la température de surface de la mer.
Unités de conservation, sites et état du saumon quinnat (Oncorhynchus tshawytscha)
Unités de conservation (UC) : Une UC s'entend d'un groupe de saumon sauvage suffisamment isolé des autres groupes pour que, s'il venait à disparaître, il soit très peu probable qu'il puisse se rétablir naturellement dans un délai acceptable, p. ex. la durée de vie d'un être humain ou un nombre précis de générations de saumon.Holtby et Ciruna (2007) ont fourni un cadre pour l’aggrégat des cinq espèces de saumon (genre Oncorhynchus) trouvées sur la côte canadienne du Pacifique dans les unités de conservation propres aux espèces en fonction de trois principales caractéristiques : écotypologie, cycle biologique et génétique. La première étape de la description des unités de conservation repose uniquement sur l’écologie. Les écotypologies utilisées dans ce cadre incluent une caractérisation combinée d’environnements marins d’eau douce et d’eaux à proximité du littoral, dits « zone adaptative conjointe ». Dans la deuxième étape, nous utilisons le cycle biologique, la génétique moléculaire et d’autres caractérisations écologiques pour regrouper ou séparer les unités de la première étape en unités de conservation sous leur forme finale. Il en résulte des unités de conservation qui sont décrites au moyen de l’application commune des trois axes. Il est important de souligner que les unités de conservation se distinguent des autres agrégats du saumon du Pacifique, telles que les unités désignables (UD) en vertu de la Loi sur les espèces en péril ou les zones de gestion.Sites de dénombrement des unités de conservation :Les données d’énumération de reproducteurs de saumons dans la région du Pacifique sont stockées et gérées dans le nouveau système de données sur les remontes de saumon (NuSDRS). Le terme « remontes » est utilisé pour faire référence au groupe de saumons matures qui ont échappé des diverses sources d’exploitation et sont retournés à l’eau douce pour frayer et se reproduire. Ces données sont assignées à un « site de dénombrement », qui peut être un cours d’eau complet avec un terminal portuaire, un affluent d’un plus grand cours d’eau ou une portée définie dans un cours d’eau qui peut englober ou non la population en entier, mais représente un indice de l’abondance de cette population. État des unités de conservation :Les unités de conservation forment l’unité de base pour l’évaluation en vertu de la politique canadienne pour la conservation de la politique concernant le saumon sauvage (PSS) (MPO 2005). L’état biologique d’une unité de conservation est évalué à partir d’un nombre de paramètres (Holt et al. 2009; Holt 2009), qui indiquent une zone d’état de la PSP. Rouge (mauvais état), ambre (état marginal) ou vert (état sain). Une étape finale comprend tous les paramètres et les renseignements sur l’état dans un état intégré final pour chaque unité de conservation, ainsi qu’un commentaire d’expert pour appuyer la détermination de l’état final (p. e.x., MPO 2012; MPO 2016). Ces renseignements servent d’intrants pour les processus de gestion des pêches afin d’aider à prioriser les activités d’évaluation et les mesures de gestion.Remarque : Les limites des UC ont été examinées en 2020-2021 et ont été mises à jour de l’échelle 1:50 000 à l’échelle 1:20 000 de l’Atlas des eaux douces de la Colombie Britannique. Les limites des UC ont été mises à jour pour la dernière fois en Mars 2023. Veuillez noter que les unités de conservation peuvent être examinées et faire l’objet de modifications sans préavis. Veuillez vous référer aux Demandes d'examen d'unités de conservation - Formulaire et résumé pour une liste des demandes d'examen d'unités de conservation qui sont en cours ou qui ont été finalisées.
Unités de conservation, sites et état du saumon coho (Oncorhynchus kisutch)
Unités de conservation (UC) : Une UC s'entend d'un groupe de saumon sauvage suffisamment isolé des autres groupes pour que, s'il venait à disparaître, il soit très peu probable qu'il puisse se rétablir naturellement dans un délai acceptable, p. ex. la durée de vie d'un être humain ou un nombre précis de générations de saumon.Holtby et Ciruna (2007) ont fourni un cadre pour l’aggrégat des cinq espèces de saumon (genre Oncorhynchus) trouvées sur la côte canadienne du Pacifique dans les unités de conservation propres aux espèces en fonction de trois principales caractéristiques : écotypologie, cycle biologique et génétique. La première étape de la description des unités de conservation repose uniquement sur l’écologie. Les écotypologies utilisées dans ce cadre incluent une caractérisation combinée d’environnements marins d’eau douce et d’eaux à proximité du littoral, dits « zone adaptative conjointe ». Dans la deuxième étape, nous utilisons le cycle biologique, la génétique moléculaire et d’autres caractérisations écologiques pour regrouper ou séparer les unités de la première étape en unités de conservation sous leur forme finale. Il en résulte des unités de conservation qui sont décrites au moyen de l’application commune des trois axes. Il est important de souligner que les unités de conservation se distinguent des autres agrégats du saumon du Pacifique, telles que les unités désignables (UD) en vertu de la Loi sur les espèces en péril ou les zones de gestion.Sites de dénombrement des unités de conservation :Les données d’énumération de reproducteurs de saumons dans la région du Pacifique sont stockées et gérées dans le nouveau système de données sur les remontes de saumon (NuSDRS). Le terme « remontes » est utilisé pour faire référence au groupe de saumons matures qui ont échappé des diverses sources d’exploitation et sont retournés à l’eau douce pour frayer et se reproduire. Ces données sont assignées à un « site de dénombrement », qui peut être un cours d’eau complet avec un terminal portuaire, un affluent d’un plus grand cours d’eau ou une portée définie dans un cours d’eau qui peut englober ou non la population en entier, mais représente un indice de l’abondance de cette population. État des unités de conservation :Les unités de conservation forment l’unité de base pour l’évaluation en vertu de la politique canadienne pour la conservation de la politique concernant le saumon sauvage (PSS) (MPO 2005). L’état biologique d’une unité de conservation est évalué à partir d’un nombre de paramètres (Holt et al. 2009; Holt 2009), qui indiquent une zone d’état de la PSP. Rouge (mauvais état), ambre (état marginal) ou vert (état sain). Une étape finale comprend tous les paramètres et les renseignements sur l’état dans un état intégré final pour chaque unité de conservation, ainsi qu’un commentaire d’expert pour appuyer la détermination de l’état final (p. e.x., MPO 2012; MPO 2016). Ces renseignements servent d’intrants pour les processus de gestion des pêches afin d’aider à prioriser les activités d’évaluation et les mesures de gestion.Remarque : Les limites des UC ont été examinées en 2020-2021 et ont été mises à jour de l’échelle 1:50 000 à l’échelle 1:20 000 de l’Atlas des eaux douces de la Colombie Britannique. Les limites des UC ont été mises à jour pour la dernière fois en Mars 2023. Veuillez noter que les unités de conservation peuvent être examinées et faire l’objet de modifications sans préavis.Veuillez vous référer aux Demandes d'examen d'unités de conservation - Formulaire et résumé pour une liste des demandes d'examen d'unités de conservation qui sont en cours ou qui ont été finalisées.
Unités de conservation, sites et état du saumon kéta (Oncorhynchus keta)
Unités de conservation (UC) : Une UC s'entend d'un groupe de saumon sauvage suffisamment isolé des autres groupes pour que, s'il venait à disparaître, il soit très peu probable qu'il puisse se rétablir naturellement dans un délai acceptable, p. ex. la durée de vie d'un être humain ou un nombre précis de générations de saumon.Holtby et Ciruna (2007) ont fourni un cadre pour l’aggrégat des cinq espèces de saumon (genre Oncorhynchus) trouvées sur la côte canadienne du Pacifique dans les unités de conservation propres aux espèces en fonction de trois principales caractéristiques : écotypologie, cycle biologique et génétique. La première étape de la description des unités de conservation repose uniquement sur l’écologie. Les écotypologies utilisées dans ce cadre incluent une caractérisation combinée d’environnements marins d’eau douce et d’eaux à proximité du littoral, dits « zone adaptative conjointe ». Dans la deuxième étape, nous utilisons le cycle biologique, la génétique moléculaire et d’autres caractérisations écologiques pour regrouper ou séparer les unités de la première étape en unités de conservation sous leur forme finale. Il en résulte des unités de conservation qui sont décrites au moyen de l’application commune des trois axes. Il est important de souligner que les unités de conservation se distinguent des autres agrégats du saumon du Pacifique, telles que les unités désignables (UD) en vertu de la Loi sur les espèces en péril ou les zones de gestion.Sites de dénombrement des unités de conservation :Les données d’énumération de reproducteurs de saumons dans la région du Pacifique sont stockées et gérées dans le nouveau système de données sur les remontes de saumon (NuSDRS). Le terme « remontes » est utilisé pour faire référence au groupe de saumons matures qui ont échappé des diverses sources d’exploitation et sont retournés à l’eau douce pour frayer et se reproduire. Ces données sont assignées à un « site de dénombrement », qui peut être un cours d’eau complet avec un terminal portuaire, un affluent d’un plus grand cours d’eau ou une portée définie dans un cours d’eau qui peut englober ou non la population en entier, mais représente un indice de l’abondance de cette population. État des unités de conservation :Les unités de conservation forment l’unité de base pour l’évaluation en vertu de la politique canadienne pour la conservation de la politique concernant le saumon sauvage (PSS) (MPO 2005). L’état biologique d’une unité de conservation est évalué à partir d’un nombre de paramètres (Holt et al. 2009; Holt 2009), qui indiquent une zone d’état de la PSP. Rouge (mauvais état), ambre (état marginal) ou vert (état sain). Une étape finale comprend tous les paramètres et les renseignements sur l’état dans un état intégré final pour chaque unité de conservation, ainsi qu’un commentaire d’expert pour appuyer la détermination de l’état final (p. e.x., MPO 2012; MPO 2016). Ces renseignements servent d’intrants pour les processus de gestion des pêches afin d’aider à prioriser les activités d’évaluation et les mesures de gestion.Remarque : Les limites des UC ont été examinées en 2020-2021 et ont été mises à jour de l’échelle 1:50 000 à l’échelle 1:20 000 de l’Atlas des eaux douces de la Colombie Britannique. Les limites des UC ont été mises à jour pour la dernière fois en Mars 2023. Veuillez noter que les unités de conservation peuvent être examinées et faire l’objet de modifications sans préavis.Veuillez vous référer aux Demandes d'examen d'unités de conservation - Formulaire et résumé pour une liste des demandes d'examen d'unités de conservation qui sont en cours ou qui ont été finalisées.
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