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Réseau canadien de surveillance radiologique – Radioactivité de l'air
Cet ensemble de données présente les résultats obtenus par le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR) de Santé Canada sur la radioactivité de l'air. Pour plus de renseignements sur le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR), visitez le site de Santé Canada (voir le lien ci-dessous).Les résultats indiquent l'activité volumique et la concentration minimale détectable de deux radionucléides naturels – soit le béryllium 7 (7Be) et le plomb 210 (210Pb) – et de trois radionucléides anthropiques (provenant de l'activité humaine), le césium 134 (134Cs), le césium 137 (137Cs) et l'iode 131 (131I), ainsi que le degré d'incertitude des données. Les données sur la radioactivité dans l'air, qui sont recueillies par la Section de la surveillance nationale, proviennent de l'analyse des particules captées par les matériaux filtrants à l'intérieur des échantillonneurs d'air à grand débit qui sont installés sur le terrain. Les radionucléides les plus présents sont de loin le 7Be et le 210Pb. Le 7Be est un radionucléide naturel qui est produit dans la haute atmosphère lorsque les rayons cosmiques bombardent des atomes d'oxygène et d'azote. Le 210Pb est également un radio-isotope naturel qui résulte de la désintégration de l'uranium (238U) naturellement présent dans le sol. Une étape intermédiaire importante de la désintégration de l'uranium est le radon. Le radon est un gaz radioactif qui se déplace dans le sol et se dilue dans l’atmosphère. Le radon est responsable de près de 50% de l’exposition à la radioactivité des Canadiens, car il peut s'accumuler à intérieur des édifices, parfois à des niveaux élevés. Le 210Pb est présent dans les filtres à air du RCSR parce que la désintégration du radon aboutit au 210Pb, après plusieurs étapes intermédiaires. Pour plus d'informations sur le programme national sur le radon de Santé Canada, visitez le site web de Santé Canada.Pour l'ensemble de nos stations, les données sur la radioactivité dans l'air indiquent qu'il y a eu une faible augmentation de l'activité volumique du 134Cs, du 137Cs et de l'iode 131I mesurée entre mars et mai 2011, ces résultats étant attribuables à l'accident nucléaire survenu à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Il convient toutefois de souligner que, même à leurs pics respectifs, l'activité volumique du 134Cs, du 137Cs et de l'iode 131I ne représente qu'une faible proportion de l'exposition au fond de rayonnement provenant de sources naturelles dans l’environnement. Il arrive parfois que l'on observe également de faibles augmentations de l'activité volumique de certains radionucléides anthropiques. C'est le cas notamment lors de feux de forêts, lesquels entraînent parfois une augmentation des concentrations de 137Cs causé par la remise en suspension de ce radionucléide déjà présent dans l'environnement, fort probablement à la suite des essais d'armes nucléaires atmosphériques qui se sont déroulés durant les années 1960. Quant à l'iode 131, la détection de faibles quantités est associée à l'usage de ce radionucléide à des fins médicales, par les hôpitaux.La carte montre l’emplacement approximatif pour chaque station de surveillance. Les stations se trouvent dans le périmètre de localisation associé.
Réseau canadien de surveillance radiologique – Le tritium dans l'eau potable
Cet ensemble de données présente les résultats obtenus par le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR) de Santé Canada sur la teneur en tritium de l'eau potable, qui sont communiqués à la Section de la surveillance nationale par les stations d'épuration d'Ottawa (Ontario). Pour plus de renseignements sur le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR), visitez le site web de Santé Canada (voir le lien ci-dessous). Les résultats présentés portent sur l'activité volumique du tritium, exprimée en becquerels par litre (Bq/L). Bien que le contrôle de la qualité de l'eau relève de la compétence des provinces, le RCSR, en collaboration avec la ville d'Ottawa, mène un programme ciblé qui vise à surveiller la teneur en substances radioactives de l'eau potable, dans deux stations d'épuration situées à Ottawa (Ontario).Les Recommandations pour la qualité de l'eau potable au Canada recommandent une concentration maximale admissible de 7 000 Bq/L pour ce qui est du tritium dans l'eau potable. Les concentrations mesurées de tritium dans l'eau potable sont bien en deçà de cette valeur.La carte montre l’emplacement approximatif pour chaque station de surveillance. Les stations se trouvent dans le périmètre de localisation associé.
Réseau canadien de surveillance radiologique – Le strontium 90 dans le lait
Cet ensemble de données présente les résultats obtenus par le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR) de Santé Canada sur l'activité volumique du 90Sr obtenus par la Section de la surveillance nationale, suite à l'analyse du lait prélevé à différents endroits partout au Canada. Pour plus de renseignements sur le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR), visitez le site web de Santé Canada (voir le lien ci-dessous). De 1984 à 1993, des données ont été recueillies dans 20 stations. Après 1993, toutes les stations de surveillance, à l'exception de celle d'Ottawa, ont cessé de mesurer systématiquement l'activité volumique du strontium radioactif dans le lait. Les résultats présentés ici portent sur l'activité volumique du 90Sr, exprimée en becquerels par litre (Bq/L). Le lait est un important milieu pour mesurer la radioactivité ambiante, car un grand nombre de radionucléides préoccupants pour la santé passent efficacement du sol au lait. La surveillance du lait donne donc une très bonne indication de la gravité des incidences environnementales qui sont observées après un incident nucléaire. Le strontium 90 (90Sr) est un radionucléide particulièrement préoccupant, en raison de sa longue demi vie radiologique et biologique, et de sa haute affinité pour les os et les dents humains. Les accidents et les essais d'armes nucléaires ont entraîné la libération, dans l'atmosphère, de ces radionucléides à longue durée de vie qui se sont ensuite introduits dans le cycle de vie biologique. Malgré cela, nous observons une diminution constante de l'activité volumique du 90Sr dans le lait, depuis que la plupart des essais d'armes nucléaires ont pris fin durant les années 1960. La carte montre l’emplacement approximatif pour chaque station de surveillance. Les stations se trouvent dans le périmètre de localisation associé.
Réseau canadien de surveillance radiologique – Stations de surveillance
Santé Canada collectionne régulièrement des échantillons environnementaux pour des analyses de radioactivité. La base du système de surveillance de Santé Canada provient de trois réseaux distinct : Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR), Réseau de surveillance en poste fixe (SPF) et la contribution canadienne à l'Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires (CTBTo). Ce jeu de données donne la localisation approximative des stations de chaque réseau. RCSR est un réseau national qui prélève régulièrement des échantillons de particules atmosphériques, de précipitations, de rayonnement gamma externe, d'eau potable, de vapeur d'eau atmosphérique et de lait pour en analyser la radioactivité. Le RCSR fonctionne depuis 1959 et établit les tendances à long terme de la radioactivité naturelle dans l’environnement, des retombées des armes nucléaires ainsi que de la radioactivité générée par d’autres activités humaines, dont la production d’énergie nucléaire et la production d’isotopes médicaux. Les ensembles de données complètes du Réseau canadien de surveillance radiologique sont disponibles sur le Portail du Gouvernement ouvert. Le SPF est un réseau intégré de détecteur de rayonnement qui fournit des mesures de rayonnement gamma terrestre en temps réel. Les détecteurs sont localisés dans chaque province et territoire du Canada. Ils sont en plus grand nombre près des installations nucléaires canadiennes majeures et les ports où des navires à propulsion nucléaire sont parfois amarrés. Les données disponibles presque en temps réel sont sur le site web de EURDEP (EUropean Radiological Data Exchange Platform).Le Traité d'interdiction complète des essais nucléaires est un traité universel sur les armes qui bannit tous États de compléter une explosion nucléaire dans tout environnement (atmosphérique, souterrain ou sous-marin. Le Canada est un signataire du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires des Nations Unis. Le Bureau de la Radioprotection de Santé Canada est responsable de quatre stations de surveillances certifiées. Ceux-ci se trouvent à Resolute, NU, Yellowknife, NT, Sidney, BC, et St. John’s, NL. Ils sont aussi responsables d’un laboratoire certifié de radionucléide à Ottawa, ON. Plus d’informations au sujet du traité sont disponibles sur le site web de la CTBTo.La carte montre l’emplacement approximatif pour chaque station de surveillance. Les stations se trouvent dans le périmètre de localisation associé.
Réseau canadien de surveillance radiologique – Dosimétrie environnementale
Cet ensemble de données fournit les résultats de l’analyse de la dose de rayonnement naturel des sites de surveillance du Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR) de Santé Canada. Pour plus de renseignements sur le RCSR, consultez le site web de Santé Canada (voir le lien ci-dessous).Ces données sur le rayonnement naturel comprennent les dosimètres de « contrôle » et les dosimètres de « transport » depuis 2016. Les données historiques sur le rayonnement naturel sont accessibles sur le portail Données Ouvertes. Un dosimètre de transport est expédié avec le dosimètre de contrôle afin de déterminer si l’appareil a enregistré une dose importante durant le transport vers la station d’échantillonnage. Le dosimètre de transport est expédié avec un appareil de contrôle, puis renvoyé avec l’appareil de contrôle de la station qui contient les données du trimestre précédent. Les dosimètres de contrôle sont installés plus longtemps (environ trois mois) que les dosimètres de transport (environ trois semaines). Cette différence explique en grande partie les doses plus petites enregistrées par le dosimètre de transport. Les résultats présentés pour les dosimètres de contrôle et de transport sont exprimés en doses ambiantes étalonnées avec une source de césium en millisieverts (mSv). Le taux de dosage est mesuré en mSv/jour. La dose externe peut être attribuée presque exclusivement au rayonnement naturel (d’origine terrestre et cosmique) avec des variations dues à plusieurs facteurs, notamment l’emplacement, les caractéristiques du sol et les variations saisonnières.La carte montre l’emplacement approximatif pour chaque station de surveillance. Les stations se trouvent dans le périmètre de localisation associé.
Réseau canadien de surveillance radiologique – Le tritium dans la vapeur d'eau atmosphérique
Cet ensemble de données présente les résultats obtenus par le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR) de Santé Canada sur le tritium de la vapeur d'eau atmosphérique, qui sont communiqués à la Section de la surveillance nationale par les stations de surveillance situées en Ontario, au Québec et au Nouveau Brunswick. Pour plus de renseignements sur le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR), visitez le site web de Santé Canada (voir le lien ci-dessou). Les résultats présentés portent sur l'activité volumique du tritium, exprimée en becquerels par mètre cube (Bq/m3). Des échantillons d'eau atmosphérique sont prélevés chaque mois pour en déterminer la teneur en tritium. La majeure partie de ces activités de surveillance sont menées dans la proximité immédiate de centrales nucléaires. Santé Canada a surveillé les zones situées à proximité des centrales nucléaires de Darlington, de Bruce et de Pickering, en Ontario, de Gentilly, au Québec, et de Point Lepreau, au Nouveau-Brunswick jusqu'en 1996. En 1996, Santé Canada a cessé de surveiller les stations situées en Ontario pour éviter la redondance étant donné qu'une initiative similaire avait été mise en oeuvre par le Ministère du Travail de la province. À l'heure actuelle, le réseau de surveillance des réacteurs de Santé Canada comprend cinq sites à proximité de Gentilly, six sites près de Point Lepreau ainsi qu'un site dans la grande région de Toronto. La concentration de tritium moyenne pour les stations de RCSR est de 0,22 Bq/m3 pour la période de 2004 à 2013 . Ce niveau est similaire à ceux rapportés par d'autres stations de surveillance à proximité de centrales nucléaires canadiennes. Ces niveaux sont considérés sans danger pour la santé. Notez que les valeurs de tritium sont mesurées en utilisant des scintillateurs liquides, nécessitant une soustraction de la contribution du fond de rayonnement dû aux sources naturelles. L'incertitude associée à chaque mesure peut conduire à des valeurs rapportées qui sont inférieures à zéro. La carte montre l’emplacement approximatif pour chaque station de surveillance. Les stations se trouvent dans le périmètre de localisation associé.
Réseau canadien de surveillance radiologique – Activité alpha / bêta brute dans l'eau potable
Cet ensemble de données présente les résultats obtenus par le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR) de Santé Canada sur les valeurs de l'activité alpha et bêta brute exprimée en becquerels par litre (Bq/L). Pour plus de renseignements sur le Réseau canadien de surveillance radiologique (RCSR), visitez le site web de Santé Canada (voir le lien ci-dessous).Bien que le contrôle de la qualité de l'eau relève de la compétence des provinces, le RCSR, en collaboration avec la ville d'Ottawa, mène un programme ciblé qui vise à surveiller la teneur en substances radioactives de l'eau potable, dans deux stations d'épuration situées à Ottawa (Ontario). Les Recommandations pour la qualité de l'eau potable au Canada recommandent des niveaux de dépistage de 0,5 Bq/L et de 1,0 Bq/L, respectivement pour l'activité alpha brute et l'activité bêta brute. Ces niveaux de dépistage ont été établis de manière à refléter les concentrations maximales admissibles (CMA) les plus restrictives pour certains radionucléides dans l'eau potable. Les niveaux de dépistage mentionnés dans les Recommandations pour la qualité de l'eau potable au Canada sont basés sur les moyennes annuelles de radionucléides dans l'eau potable. Une exposition de courte durée à des niveaux supérieurs à ceux recommandés dans ce document n'indique pas un risque pour la santé. De façon générale, les valeurs de l'activité alpha brute et de l'activité bêta brute qui sont présentées ici sont bien en deçà des niveaux de dépistage mentionnés dans les Recommandations pour la qualité de l'eau potable au Canada. Une seule exception ayant été observée à ce jour. Cela s'est produit le 28 février 2011 et a été attribué au rinçage des conduites à la station d'épuration. Cette activité de nettoyage a entraîné une augmentation temporaire des radionucléides de plomb naturels, un problème qui a été immédiatement corrigé par la ville d'Ottawa.La carte montre l’emplacement approximatif pour chaque station de surveillance. Les stations se trouvent dans le périmètre de localisation associé.
Surveillance de la radioactivité environnementale en temps réel au Canada
Les débits de dose gamma terrestres, rapportés en équivalent de dose ambiant avec l’unité nSv/h, sont présentés pour les quatre-vingt-dix derniers jours. Les données sont mesurées en temps réel, typiquement par les dosimètres spectroscopiques du Réseau de surveillance en poste fixe (SPF). Les stations dosimétriques de ce réseau sont localisées dans les centres de population et autres endroits stratégiques à travers le Canada. Les données en temps réel offrent un aperçu des fluctuations typiques des niveaux de radioactivité dans l’environnement canadien; elles peuvent aussi fournir une détection rapide de sources de radioactivités autres que le bruit de fond environnemental.À titre de référence, les installations nucléaires et les mines et usines de concentration d'uranium peuvent être trouvées dans le catalogue de Cartes ouvertes et ajoutées à la carte de surveillance de la radioactivité environnementale en temps réel à l'aide du bouton "+" (Ajouter une couche) du panneau "Couches" de l’outil de visualisation. Les liens ESRI REST ou WMS trouvés dans l'enregistrement des métadonnées des installations nucléaires et usines et mines d'uranium est ce qu'il faut pour procéder. Ces liens peuvent être trouvés ici : https://open.canada.ca/data/fr/dataset/6478153c-829f-4649-bd52-41f63b41021f.Le jeu de données Installations nucléaires et usines et mines d'uranium fourni par la Commission canadienne de sûreté nucléaire correspond aux titulaires de permis nucléaires qui opèrent à travers le Canada. Les opérations comprennent les mines et usines de concentration d'uranium, les installations de traitement de l'uranium, les centrales nucléaires, les réacteurs de recherche, les accélérateurs de particules et les installations de traitement des substances nucléaires. Toutes ces installations sont autorisées par la CCSN et sont assujetties à une surveillance réglementaire stricte pour assurer la sécurité du public et de l'environnement.
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