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501 Ensembles de données, Page 1 sur 51
Partenariats en matière de licences commerciales mobiles
Les communautés actuelles établissent un partenariat dans le cadre d'un programme de licences commerciales mobiles avec les communautés voisines. Pour consulter les partenariats relatifs aux licences commerciales mobiles dans l'atlas économique de la Colombie-Britannique, [cliquez ici] (https://maps.gov.bc.ca/ess/hm/bcea/?catalogLayers=6081,6120,6082¢er=-13000000,6450000,102100&legendFirst).** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **
Zones de protection marines de la Loi sur les océans
Les zones de protection marines (ZPM) sont un outil de gestion spatiale parmi bien d’autres, et sont définies comme des zones établies à long terme et gérées par tous moyens efficaces, juridiques ou autres, afin d’assurer à long terme la conservation de la nature ainsi que les services écosystémiques et les valeurs culturelles qui lui sont associés.À l’heure actuelle, Pêches et Océans Canada compte un certain nombre de ZPM désignées en vertu de la Loi sur les océans, ainsi que des zones d’intérêt pour de nouvelles ZPM qui en sont à diverses étapes du processus de désignation. Ces zones sont importantes sur le plan écologique, et abritent des espèces ou ont des caractéristiques qui nécessitent une gestion particulière. En vertu de la Loi sur les océans, une ZPM peut être établie pour l’un des six objectifs de conservation énoncés dans la Loi :• la conservation et la protection des ressources halieutiques, commerciales ou autres, y compris les mammifères marins, et de leur habitat; • la conservation et la protection des espèces en voie de disparition et des espèces menacées, et de leur habitat; • la conservation et la protection d’habitats uniques; • la conservation et la protection d’espaces marins riches en biodiversité ou en productivité biologique; • la conservation et la protection d’autres ressources ou habitats marins, pour la réalisation du mandat du ministre;• la conservation et la protection d’espaces marins en vue du maintien de l’intégrité écologique.
Sections forestières du Manitoba — Version 4
Ces données spatiales représentent les limites des sections forestières du Manitoba. Les sections forestières sont des zones administratives composées d'unités de gestion forestière (UMF). Le Manitoba compte 14 sections forestières portant un nom unique, dont 9 sont capables de faire pousser des forêts commerciales.Les sections forestières du Manitoba sont des zones administratives composées d'unités de gestion forestière (UFM). Le Manitoba compte 14 sections forestières portant un nom unique, dont 9 sont capables de faire pousser des forêts commerciales. La partie sud de la forêt-parc d'Aspen ainsi que les sections forestières du nord du Bouclier boréal, du Bouclier de la taïga, des plaines hudsoniennes et du sud de l'Arctique sont incapables de développer des forêts commerciales. Les quatre sections forestières du nord étaient auparavant appelées « zone blanche » et ont toutes conservé le numéro de section forestière de la zone blanche précédent de 10. Les limites des sections forestières nordiques sont basées sur les écozones suivantes : Plaines hudsoniennes : zone subarctique englobant les zones côtières de la baie d'Hudson. La zone est constituée d'une vaste plaine plate, caractérisée par un mauvais drainage qui a entraîné la création de grandes et nombreuses tourbières, lacs, marais côtiers et vasières intertidales. L'aulne, le saule, l'épinette noire et le mélèze laricin sont les espèces d'arbres les plus communes. Bouclier de la taïga : Le terrain est généralement plat ou parsemé de collines ondulantes causées par le retrait des glaciers ; les longs eskers et les hautes terres sont courants. Les sols peu profonds restent humides toute l'année et gèlent et dégelent régulièrement, ce qui entraîne la croissance inclinée des arbres, parfois appelés « forêts ivres ». La limite nord de la section forestière est délimitée par la limite des arbres. L'épinette noire, le pin gris, le bouleau, le mélèze laricin, l'épinette blanche, le sapin baumier, le peuplier faux-tremble et le peuplier baumier sont des espèces d'arbres communes. Arctique austral : La limite sud désignait la limite des arbres. Les moraines, les eskers, les lacs marécageux et les étangs sont courants. Le pergélisol forme une nappe continue sur toute la section ; les buttes polygonales résultent souvent du gel et du dégel des sols.Bouclier boréal : Cette section forestière représente la limite supérieure de l'écozone du bouclier boréal, caractérisée par des hivers longs et froids et des étés chauds. Le pergélisol est très répandu. Les espèces d'arbres des hautes et des basses terres sont communes. Le sol varie entre un muskeg mal drainé et du sable déposé par les glaciers. Les conifères comprennent l'épinette blanche et noire, le sapin baumier, le pin gris et le mélèze laricin ; les espèces de feuillus comprennent le bouleau, le peuplier faux-tremble et le peuplier baumier. Les feux de forêt et les infestations d'insectes sont les moteurs naturels de la succession forestière. Les dix sections forestières situées au sud de la section forestière 10 sont parfois appelées « zone verte » et comprennent les zones suivantes : Pineland, Aspen Parkland, Mountain, Interlake, Lake Winnipeg-Est, Churchill, fleuve Nelson, rivière Hayes, rivière Saskatchewan et Highrock. Champs inclus : SECTION S : Numéro de section forestière. SECTION_NAME : nom de la section de la forêt.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate).**
Programme d’échantillonnage des captures commerciales dans l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent – sébaste (Sebastes sp.)
SommaireLa région du Québec du Ministère des Pêches et des Océans (MPO) est responsable de l'évaluation de plusieurs stocks de poissons et d’invertébrés exploités dans l'estuaire et le nord du golfe du Saint-Laurent. Le programme d’échantillonnage des captures commerciales est l’une des sources d’information utilisée pour la réalisation de ces évaluations. Les données récoltées par ce programme, à quai ou en mer, offrent entre autres l’avantage d’une couverture spatio-temporelle relativement importante et permettent d’obtenir une partie des connaissances nécessaires pour déterminer la démographie et la structure des populations exploitées. La mise en œuvre de ce programme est assurée par du personnel spécialisé du MPO dont le principal mandat consiste à prélever des données biologiques sur les espèces de poissons de fond, de poissons pélagiques et d'invertébrés marins exploités commercialement dans les diverses communautés maritimes.DonnéesCe jeu de données sur le sébaste (Sebastes sp.) inclut les métadonnées, le poids d'échantillon, la longueur du poisson, le sexe et le nombre de spécimens mesurés. Le jeu de données couvre les périodes de 1980-1996, 1999-2013, 2015-2016 et 2019. Afin de protéger la confidentialité des sources, certaines informations (comme celles concernant le navire) ont été exclues et d'autres (comme la date de capture) ont été simplifiées. Les données où il n'y avait qu'un seul navire dans une zone de pêche par année ont également été exclues. Des informations additionnelles incluant les coordonnées des zones de pêche peuvent être obtenues en cliquant sur les liens «Pêches commerciales de l'Atlantique et de l’Arctique» et «Zones de pêche» ci-dessous.
Points d'installation
L'emplacement des zones artificielles importantes liées aux activités commerciales du gouvernement de l'Alberta.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate).**
Programme d’échantillonnage des captures commerciales dans l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent – Concombre de mer (Cucumaria frondosa)
SommaireLa région du Québec du Ministère des Pêches et des Océans (MPO) est responsable de l'évaluation de plusieurs stocks de poissons et d’invertébrés exploités dans l'estuaire et le nord du golfe du Saint-Laurent. Le programme d’échantillonnage des captures commerciales est l’une des sources d’information utilisée pour la réalisation de ces évaluations. Les données récoltées par ce programme, à quai ou en mer, offrent entre autres l’avantage d’une couverture spatio-temporelle relativement importante et permettent d’obtenir une partie des connaissances nécessaires pour déterminer la démographie et la structure des populations exploitées. La mise en œuvre de ce programme est assurée par du personnel spécialisé du MPO dont le principal mandat consiste à prélever des données biologiques sur les espèces de poissons de fond, de poissons pélagiques et d'invertébrés marins exploités commercialement dans les diverses communautés maritimes.DonnéesCe jeu de données sur le concombre de mer (Cucumaria frondosa) inclut les métadonnées, le poids d'échantillon, la longeur des spécimens et le nombre de spécimens mesurés. Le jeu de données couvre la période entre 2014-2021. Afin de protéger la confidentialité des sources, certaines informations (comme celles concernant le navire) ont été exclues et d'autres (comme la date de capture) ont été simplifiées. Les données où il n'y avait qu'un seul navire dans une zone de pêche par année ont également été exclues. Des informations additionnelles incluant les coordonnées des zones de pêche peuvent être obtenues en cliquant sur les liens «Pêches commerciales de l'Atlantique et de l’Arctique» et «Zones de pêche» ci-dessous.
Lignes de démarcation et sentiers
L'emplacement d'éléments visibles, linéaires et artificiels importants pour les activités commerciales du gouvernement de l'Alberta.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate).**
Programme d’échantillonnage des captures commerciales dans l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent - capelan (Mallotus villosus)
SommaireLa région du Québec du Ministère des Pêches et des Océans (MPO) est responsable de l'évaluation de plusieurs stocks de poissons et d’invertébrés exploités dans l'estuaire et le nord du golfe du Saint-Laurent. Le programme d’échantillonnage des captures commerciales est l’une des sources d’information utilisée pour la réalisation de ces évaluations. Les données récoltées par ce programme, à quai ou en mer, offrent entre autres l’avantage d’une couverture spatio-temporelle relativement importante et permettent d’obtenir une partie des connaissances nécessaires pour déterminer la démographie et la structure des populations exploitées. La mise en œuvre de ce programme est assurée par du personnel spécialisé du MPO dont le principal mandat consiste à prélever des données biologiques sur les espèces de poissons de fond, de poissons pélagiques et d'invertébrés marins exploités commercialement dans les diverses communautés maritimes.DonnéesCe jeu de données sur le capelan (Mallotus villosus) inclut les métadonnées, le poids d'échantillon, la longueur du poisson, le sexe et le nombre de spécimens mesurés. Le jeu de données couvre la période de 1988-présent. Afin de protéger la confidentialité des sources, certaines informations (comme celles concernant le navire) ont été exclues et d'autres (comme la date de capture) ont été simplifiées. Les données où il n'y avait qu'un seul navire dans une zone de pêche par année ont également été exclues. Des informations additionnelles incluant les coordonnées des zones de pêche peuvent être obtenues en cliquant sur les liens «Pêches commerciales de l'Atlantique et de l’Arctique» et «Zones de pêche» ci-dessous.
Polygones d'accès et d'installations
L'emplacement des zones artificielles importantes liées aux activités commerciales du gouvernement de l'Alberta.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate).**
Biodiversité côtière de l’épifaune benthique de l'estuaire du Saint-Laurent (2018-2019)
La rive nord de l’estuaire maritime (Haute-Côte-Nord, Québec) est un système côtier productif où de nombreuses espèces commerciales d’invertébrés benthiques sont pêchées dans la zone infralittorale (10-20 m) et circalittorale (20-50 m). Cependant, peu de données existent sur la biodiversité des espèces non commerciales et les caractéristiques environnementales de l’habitat benthique de ce milieu. Deux relevés scientifiques ont donc été réalisés en 2018 et 2019 afin de combler ce manque de connaissances en développant un cadre de prises de données de biodiversité et environnementales (colonne d’eau et fond marin) qui serviront à déterminer l’état de référence de l’écosystème benthique de cette région.Les relevés ont été réalisés en 2018 (11-14 août) et en 2019 (30 juillet-5 août) dans la région de la Haute-Côte-Nord (entre Forestville et Godbout). Les relevés suivaient un plan d’échantillonnage fixe de huit transects perpendiculaires à la bathymétrie avec des stations à intervalle de 10 m de profondeur dans une bathymétrie de 10 à 50 m pour un total d’environ 40 stations par relevé. Les spécimens ont été récoltés à l’aide d’un chalut à bâton (ou chalut à perche) d’une ouverture de 2.8 m. Les traits ont été réalisés à une vitesse visée de 2 nœuds et d’une durée visée de 7 minutes. Les positions début et fin ont été notées pour calculer la distance parcourue à chaque trait à l'aide de la bibliothèque geosphere de R. La distance moyenne des traits était d’environ 425 m. La superficie couverte à chaque trait était le produit de l’ouverture du chalut et de la distance parcourue. Les trois fichiers fournis (format DarwinCore) sont complémentaires et sont reliés par la clé « IDactivité ». Le fichier «information_activité» comprend les informations génériques de l'activité, notamment la date et la localisation. Le fichier «information_supplémentaire_activité_et_occurrence» comprend notamment la taille de l'échantillon, le protocole et l’effort d’échantillonnage. Le fichier «occurrence_taxon» comprend la taxonomie des espèces observées, identifiées à l’espèce ou au niveau taxonomique le plus bas possible. Pour obtenir l’évaluation de l’abondance et de la biomasse, communiquez avec Virginie Roy (virginie.roy@dfo-mpo.gc.ca).Pour les contrôles de qualité, tous les noms taxonomiques ont été vérifiés sur le registre mondial des espèces marines (WoRMS) pour correspondre aux normes reconnues. La correspondance WoRMS a été placée dans le champ « IDnomScientifique » du fichier d'occurrence. Les cas spéciaux ont été notés dans « commentairesIdentification » et certains spécimens sélectionnés ont été confirmés à l'aide de photos de terrain. Les contrôles de la qualité des données ont été effectués à l'aide des bibliothèques R obistools et worrms. Tous les emplacements d'échantillonnage ont été validés spatialement.Ce projet a été financé par le Programme sur les données environnementales côtières de référence de Pêches et Océans Canada dans le cadre du Plan de protection des océans. Cette initiative vise à acquérir des données environnementales de base qui contribuent à la caractérisation des zones côtières d’importance et appuient des évaluations fondées sur des preuves ainsi que les décisions de gestion afin de préserver les écosystèmes marins.
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