Pour l'unité hydrogéologique, la quantité d'eau qui recharge l'eau souterraine sous la nappe phréatique, exprimée en mm/an. La recharge est généralement calculée à partir du bilan hydrologique, intégrant les précipitations, données hydrologiques, drainage, propriétés du sol, évapotranspiration et etc. Le résultat est un jeu de données raster dans lequel chaque cellule a une valeur de recharge. La recharge peut être calculée avec le logiciel HELP, développé par US EPA. Les méthodes employées pour créer le jeu de données sont décrites dans le fichier de métadonnées associé au jeu de données. Le jeu de données représente un raster dans lequel chaque cellule a une valeur annuelle moyenne de recharge. Le raster couvre l'unité hydrogéologique.

Zones présentant des caractéristiques de faible débit homogènes** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **

Zones représentant des zones présentant des caractéristiques hydrologiques et géomorphologiques homogènes** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **

Limite du bassin versant délimitée pour les stations hydrométriques Canada-Colombie-Britannique. Actuellement, les bassins versants étaient délimités selon des limites à l'échelle de 1:50 000 en 1996, et de nombreux bassins versants englobent des bassins versants entiers, au lieu de se limiter aux bassins versants en amont. Remarque - Pas encore disponible, mais nous sommes en train de générer les bassins versants en amont des stations hydrométriques de la Colombie-Britannique à l'aide de données de base mises à jour, en utilisant la méthode suivante : En Colombie-Britannique, les limites des bassins versants sont basées sur les bassins versants fondamentaux de l'Atlas des eaux douces à l'échelle 1/20 000, et découpées à l'aide du BC TRIM DEM utilisé pour approximer la hauteur du terrain aux emplacements des stations. À l'extérieur de la Colombie-Britannique, mais à l'intérieur du Canada, les limites des bassins versants ont été approximées à l'aide des données du CDED DEM du Canada pour la délimitation (aucun « brûlage des cours d'eau » n'a été utilisé) et certaines modifications manuelles des limites ont été effectuées pour correspondre approximativement aux données hydrologiques après coup. Aux États-Unis, le jeu de données sur les limites du bassin versant de l'USGS a été utilisé (à la meilleure échelle disponible pour chaque drainage) pour délimiter la limite du bassin versant, le bassin versant étant découpé à l'aide du jeu de données d'élévation national de l'USGS pour approximer la hauteur du terrain si nécessaire.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **

Les données sont utilisées pour générer des bassins hydrographiques et appuyer les applications hydrologiques au niveau de la province tels : * la création de bassins hydrographiques * la modélisation hydrologique * l'analyse du réseau des cours d'eau Cinq ensembles de données clés sont représentés dans chaque ensemble de données : * réseau de cours d'eau (Enhanced Watercourse) * MAN axé sur l'hydrologie (Enforced DEM) * grille de la direction des débits (Enhanced Flow Direction) * trame de représentation du réseau des cours d'eau (Stream Grid) __Informations techniques__ Les données hydrologiques intégrées de l’Ontario sont complètes pour l’ensemble de la province, ce qui permet de créer un bassin hydrographique pour n’importe quel endroit en Ontario, y compris les régions qui se déversent des provinces voisines et du Minnesota, sauf dans les cas suivants : * les points de la frontière internationale qui s’écoulent dans le lac Supérieur, au sud de la rivière Pigeon; * les points de la frontière internationale où s’écoulent les voies interlacustres des Grands Lacs et le fleuve Saint-Laurent du côté des États-Unis; * les points le long de la rivière des Outaouais qui s’écoulent du Québec. __Note spéciale : l'ensemble Nord-Ouest__ L'ensemble « Nord-Ouest » contient des données hydrographiques pour l’ensemble du bassin de la rivière à la Pluie, une région qui chevauche la frontière internationale entre le Canada et les États-Unis. Les données du côté des États-Unis proviennent du National Hydrography Dataset (NHD) en date de février-mars 2014, qui a été harmonisé avec le Réseau de données hydrographiques de l’Ontario pour créer les couches des cours d’eau améliorées et des plans d’eau intégrées qui se trouvent dans l’ensemble Nord-Ouest. Pour en savoir plus sur le moment où les données ont été initialement extraites et intégrées, reporter aux champs stockés dans la table des attributs de chaque couche vectorielle dans la base de données géographiques : * Date d’entrée en vigueur (EFF_DATE) * Date de mise à jour de la géométrie (GEO_UPD_DT) Les données relatives aux États-Unis sont un instantané statique du NHD destiné à appuyer la modélisation régionale. Veuillez consulter le site Web du [United States Geological Survey [USGS]](https://www.usgs.gov/core-science-systems/ngp/national-hydrography) (en anglais seulement) pour obtenir la version la plus récente du NHD.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie. Les valeurs françaises pour le titre et la description du jeu de données proviennent de la province de l’Ontario alors que celles des mots-clés et des noms des ressources sont le résultat d'une traduction automatique (Amazon Translate) **

Les statistiques hydrologiques de reference (regime de debit de cours d'eau) dans le sud-ouest de la Baie d'Hudson et les bassins hydrographiques de la riviere Nelson ont ete produites pour l'Étude de la base de donnees nationale de Releves hydrologiques du Canada (HYDAT). Ces statistiques de reference offrent des renseignements sur la quantite d'eau dans chaque localisation de stations dans les Releves hydrologiques du Canada. Elles offrent aussi un resume a l'echelle des bassins hydrographiques primaires. Ces donnees aident a cerner les anciennes lacunes sur le plan des donnees dans la region du Grand Nord. Les donnees servent : * À la planification de l'amenagement des terres * À la gestion integree des bassins hydrographiques * Aux etudes sur le changement climatique * Aux etudes sur l'energie hydroelectrique** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie. Les valeurs françaises pour le titre et la description du jeu de données proviennent de la province de l’Ontario alors que celles des mots-clés et des noms des ressources sont le résultat d'une traduction automatique (Amazon Translate) **

Les entités polygonales représentent les aquifères d'eau souterraine développés en Colombie-Britannique (qui ont été cartographiés). La plupart des limites des aquifères sont délimitées sur la base de données géologiques, hydrologiques et topographiques. Certaines limites d'aquifères s'arrêtent à la limite des limites des feuilles de carte de la Colombie-Britannique en raison de contraintes liées aux ressources ou aux données au moment de la cartographie.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **

L’ensemble de données « Écoprovince terrestres du Canada » fournit des représentations des écoprovinces. Une écoprovince est une subdivision d’une écozone caractérisée par de grands assemblages de structures et de formes de relief, de domaines fauniques, de couvertures végétales, de réseaux hydrologiques, de sols et de macroclimats. Par exemple, l’écoprovince de Terre-Neuve (no 6.4) est l’une des six écoprovinces comprises dans l’écozone du Bouclier boréal.

Les zones hydrologiques de la Colombie-Britannique représentent des régions au climat et au relief similaires, ce qui se traduit par des caractéristiques hydrologiques assez homogènes. Les zones ont été définies précédemment par Obedkoff et d'autres. Cet ensemble de données a été étendu à la province, aux territoires et aux États voisins pour les études régionales d'analyse de la fréquence des inondations. Consultez le Bulletin 2020-1-RFFA Projet sur les crues extrêmes en Colombie-Britannique — Analyse de la fréquence des crues régionales — Rapport de développement technique et manuel pour effectuer une analyse de la fréquence des inondations régionales.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **

Le jeu de données « Réseau de stations hydrométriques du Projet des bassins hydrographiques d’AAC (2013) » est une couche de données géospatiales contenant des entités linéaires de réseau représentant les liens entre les stations hydrométriques du Projet des bassins hydrographiques d’Agriculture et Agroalimentaire Canada; direction générale des sciences et de la technologie; Division de l'agroclimatique, de la géomatique, et de l'observation de la terre; Observations de la terre direction générale des sciences et de la technologie; Division de l'agroclimatique, de la géomatique, et de l'observation de la terre; Observations de la terre; direction générale des sciences et de la technologie; Division de l'agroclimatique, de la géomatique, et de l'observation de la terre; Géomatiques ; direction générale des sciences et de la technologie; Division de l'agroclimatique, de la géomatique, et de l'observation de la terre; Agroclimatique; direction générale des sciences et de la technologie; Division de l'agroclimatique, de la géomatique, et de l'observation de la terre; Géomatiques (AAC). Chaque ligne relie une station hydrométrique à une ou plusieurs stations voisines en aval, indiquant la direction de l’écoulement.Ce réseau est un réseau « hydrographique » et non un réseau « fluvial ». Cela signifie que les lignes ne représentent d’aucune façon la voie d’écoulement entre les stations.Dans certains cas (pour un lac, par exemple), une zone peut comporter plusieurs stations hydrométriques. Dans de tels cas, une des stations hydrométriques est désignée comme étant la station « principale » à des fins de calcul, et pour maintenir des liens hydrauliques adéquats entre les stations hydrométriques, où seules les stations principales sont reliées à la partie aval du réseau.