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Relations entre le poids apprêté et le poids entier (poids brut) pour l’omble chevalier de la rivière Halokvik (région de Cambridge Bay au Nunavut)
Les pêches commerciales et exploratoires de l’omble chevalier (Salvelinus alpinus) sont source d’importantes retombées économiques pour les Nunavummiuts dans plusieurs communautés du Nunavut. Il est important d’avoir une idée précise du poids de l’omble chevalier récolté afin de pouvoir suivre les prises et comprendre de quelle façon les paramètres biologiques peuvent évoluer dans le temps en raison de l’exploitation et des changements climatiques et environnementaux. Malheureusement, la plupart des poissons entrent dans les usines de transformation déjà apprêtés (branchies et viscères enlevés); des facteurs de conversion doivent donc être appliqués pour déterminer le poids entier (brut) d'après le poids apprêté. Ici, nous fournissons un facteur de conversion actualisé basé sur la régression linéaire pour l’omble chevalier de la rivière Halokvik (connue localement sous le nom de 30 Mile), près de la communauté de Cambridge Bay. Ce facteur de conversion pourra être utilisé à l’avenir, car la rivière Halokvik continue d’être exploitée commercialement.
Indice de risque climatique pour les espèces marin d'intérêt commercial et de conservation au Canada
Il est fort probable que le changement climatique ait des répercussions importantes dans tous les bassins marins et d'eau douce du Canada, et que les effets s'accentuent au fil du temps (MPO 2012). Les modèles climatiques prévoient que les écosystèmes et les pêcheries du Canada seront perturbés dans un avenir prévisible (Lotze et al. 2019 ; Bryndum-Buchholz et al. 2020 ; Tittensor et al. 2021 ; Boyce et al. 2024). Malgré son imminence, le changement climatique est rarement pris en compte dans les principales stratégies de conservation marine du Canada, telles que la planification spatiale (O'Regan et al. 2021) ou la gestion des pêches (Boyce et al. 2021 ; Pepin et al. 2022). L'indice de risque climatique pour la biodiversité (Climate Risk Index for Biodiversity, CRIB) a été mis au point pour évaluer le risque climatique pour les espèces marines d'une manière quantitative, spatialement explicite et évolutive, afin d'appuyer la prise de décision éclairée par le climat. Il a été utilisé pour évaluer les risques climatiques pour la vie marine à l'échelle mondiale (Boyce et al. 2022), régionale (Lewis et al. 2023 ; Boyce et al. 2024 ; Keen et al. 2023), pour les pêcheries (Boyce et al. 2024), et pour soutenir la planification de la conservation spatiale (Keen et al. 2023). Ce jeu de données contient des estimations de la vulnérabilité et du risque climatique à partir du cadre du CRIB adapté pour prendre en compte le réchauffement à la fois à la surface et au fond de la mer pour 145 espèces marines présentant un intérêt pour la conservation ou la pêche sur l'ensemble du territoire marin du Canada. Le risque climatique est disponible à une résolution de 0,25 degré dans le cadre de deux scénarios d'émissions contrastés jusqu'en 2100. Pour chaque espèce, chaque lieu et chaque scénario, 12 indices climatiques, trois dimensions de la vulnérabilité et un score global de vulnérabilité et de risque sont fournis. Le rapport qui en découle décrit les données, les méthodes et le déroulement des opérations de travail utilisés pour calculer le risque. Ce rapport guide également l'interprétation de ces données afin d'informer et de soutenir la prise de décision éclairée par des considerations climatiques au Canada.
Indice de risque climatique pour la vie marine dans la zone économique exclusive canadienne
Au Canada, les évaluations du MPO ont fait état d'une forte probabilité d'impacts significatifs du changement climatique dans tous les bassins marins et d'eau douce, les effets augmentant avec le temps (MPO 2012a, 2012b), tandis que les projections climatiques indiquent que les écosystèmes et les pêcheries seront perturbés dans un avenir prévisible (Lotze et al. 2019b ; Bryndum-Buchholz et al. 2020 ; Tittensor et al. 2021 ; Boyce et al. 2022c). Malgré son imminence, le changement climatique est rarement pris en compte dans les principales stratégies de conservation marine du Canada, comme la planification spatiale (O'Regan et al. 2021) ou la gestion des pêches (Boyce et al. 2021a ; Pepin et al. 2022). L'indice de risque climatique pour la biodiversité a été mis au point pour évaluer le risque climatique pour les espèces marines d'une manière quantitative, spatialement explicite et évolutive afin de mieux soutenir la prise de décision éclairée par le climat. Il a été utilisé pour évaluer les risques climatiques pour la vie marine à l'échelle mondiale (Boyce et al. 2022a), régionale (Lewis et al. 2023) et pour les pêcheries (Boyce et al. 2022c). Ces données présentent les résultats de l'application du cadre du CRIB pour estimer les risques climatiques moyens associés au réchauffement de la surface de la mer pour 2 959 espèces sur l'ensemble du territoire marin canadien dans le cadre de différents scénarios d'émissions futures. Dans le rapport technique accompagnant cette publication de données, nous utilisons la morue franche (Gadus morhua) comme exemple pour décrire les données, les méthodes et les résultats de l'approche, et pour montrer de manière transparente et tangible comment elle quantifie le risque et peut. Citer ces données comme suit: Boyce, D., Greenan, B., Shackell, N. Données de:Indice de risque climatique pour la vie marine dans la zone économique exclusive canadienne.Date de publication: Janvier 2024. Secteur des sciences des écosystèmes et des océans, Pêches et Océans Canada, Dartmouth (Nouvelle-Écosse).https://open.canada.ca/data/fr/dataset/2a0b3298-2bcc-49a0-a745-af56ed0462f1
Établissements alimentaires
Le présent ensemble localise les établissements sous la responsabilité de la Division de l’inspection des aliments de la Ville de Montréal. Il est à noter que la Ville est mandataire du Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) en ce qui concerne l’inspection sur son territoire.
Aires de reproduction de l'alose savoureuse dans le fleuve et l'estuaire du Saint-Laurent
Couche regroupant l’information connue des aires de reproduction de l'alose savoureuse dans le fleuve et l'estuaire du Saint-Laurent selon une revue de littérature de documents réalisés entre 1976 et 1997.Information additionnelleLes aires de reproduction de l'alose savoureuse ont été produites à partir d'une revue de littérature des documents suivants:Blais, J.-P. et V. Legendre. 1976. La ouananiche, Salmo salar, du lac Tremblant, Québec. Québec, Ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche, Direction régionale de Montréal, Rapp. tech. 06-11, 116 p.Boulet, M., J. Leclerc et P. Dumont. 1995. Programme triennal d'étude sur le suceur cuivré. Québec, Ministère de l'Environnement et de la Faune, Service de l'aménagement et de l'exploitation de la faune, Montréal, Rapp. d'étape, 61 p.Boulet, M., Y. Chagnon et J. Leclerc. 1996. Recherche et caractérisation des aires de fraye des suceurs cuivré et ballot au bief d'aval du barrage de Saint-Ours (rivière Richelieu) en 1992. Québec, Ministère de l'Environnement et de la Faune, Service de l'aménagement et de l'exploitation de la faune, Longueuil, Rapp. trav. 06-38, xi + 37 p.Dumont, P. et R. Fortin. 1977. Relations entre les niveaux d'eau printaniers et la reproduction du Grand Brochet du Haut-Richelieu et de la baie Missisquoi. Université du Québec à Montréal, Département des sciences biologiques, pour le Bureau international Champlain Richelieu, Comité d'impact sur l'environnement, x + 108 p.Dumont, P. et S. Desjardins. 1989. Lettre adressée à M. André Poulin du Département de géographie, Université de Sherbrooke, au sujet de la faune et les habitats de la portion aval de la rivière aux Brochets. Québec, Ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche, Direction régionale de Montréal. Dumont, P., J. Leclerc et L. Bouthillier. 1989a. Données d'inventaire, baie Brazeau, rivière des Outaouais, été 1989. Québec, Ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche, Service de l'aménagement et de l'exploitation de la faune, Montréal. [Données non publiées].Environnement Illimité inc. 1994. Centrale Les Cèdres - Nouvel aménagement. Avant-projet phase 2, études environnementales. Description du milieu biologique. Volumes 1 et 2. Rapport préparé pour la Vice-Présidence Environnement Hydro-Québec, Service production, réfection et localisation, 241 p. + annexes.Fournier, P. et L.-M. Soyez. 1988. Étude de l'utilisation faunique printanière du marais de Rosemère. Québec, Ministre du Loisir, de la Chasse et de la Pêche, Service de l'aménagement et de l'exploitation de la faune, Montréal, 13 p.Gagnon, M., Y. Ménard et J.-F. La Rue. 1993. Caractérisation et évaluation des habitats du poisson dans la zone de transition saline du Saint-Laurent. Rapp. tech. can. sci. halieut. aquat. 1920: viii + 104 p.Gendron, M. 1986. Rivière-des-Prairies. Aménagement d'un haut-fond, printemps 1986. Groupe de recherche SEEEQ ltée pour la Direction Environnement d'Hydro-Québec, 103 p.Gendron, M. 1987. Rivière-des-Prairies. Suivi de l'aménagement d'un haut-fond, printemps 1987. Le Groupe de recherche SEEEQ ltée pour la Direction Environnement d'Hydro-Québec, 60 p.Gendron, M. 1988. Rivière-des-Prairies. Suivi de l'aménagement du haut-fond, synthèse 1982-1988. Le Groupe de recherche SEEEQ ltée pour le Service de recherche en environnement et santé publique, Vice-Présidence Environnement, Hydro-Québec, 95 p.Guay, G. et M. Couillard. 1985. Étude de l'utilisation printannière et autonmale des rapides de Lachine par les poissons. Environnement Illimité inc. pour le Secrétariat Archipel, 167 pages + annexes.Laramée, P. 1983. La vie printanière dans les rapides de Lachine : Reproduction des poissons. Éco-Recherches inc. pour Vice-Présidence Environnement Hydro-Québec et le Secrétariat Archipel, 30 p. + 7 annexes. Leclerc, J. 1983. La montaison de l'Alose savoureuse dans la rivière des Mille Iles en 1983. Rapport réalisé par Bio-Conseil inc. pour le compte du Service des études hydrauliques et écologiques, Ministère de l'Environnement du Québec, 45 p.Letendre, M., B. Dumas et M. Beaudoin. 1990. Inventaire de la rivière des Prairies, au niveau de l'île de Pierre. Québec, Ministère du Loisir de la Chasse et de la Pêche, Service de l'aménagement et de l'exploitation de la faune, Montréal. [Travaux en cours].Provost, J., L. Verret et P. Dumont. 1984. L'Alose savoureuse au Québec : synthèse des connaissances biologiques et perspectives d'aménagement d'habitats. Canada, Ministère des Pêches et Océans, Direction de la recherche sur les pêches, Laboratoire de Québec, Rapport manuscrit canadien des sciences halieutiques et aquatiques no 1793, xi + 114 p.Thérrien, J., H. Marquis, G Shooner et P. Bérubé.1991. Caractérisation des habitats recherchés pour la fraie des principales espèces de poisson du fleuve Saint-Laurent (Cornwall à Montmagny). Étude réalisée pas le Groupe Environnement Shooner inc. Pour le compte du Ministère des Pêches et des Océans du Canada. 16 p.
Assemblages de poissons et d’invertébrés en milieux côtiers dans l’Estuaire du Saint-Laurent (rive nord) échantillonnés avec un chalut à perche
Ce jeu de données provient de captures réalisées dans une série de traits de chalut à perche effectués lors de relevés en milieux côtiers sur la rive nord de l'estuaire du Saint-Laurent, entre Portneuf-sur-Mer et Pointe-des-Monts, et entre juin et octobre de 2019, 2020, 2021 et 2022. Il contient les données de capture de poissons et invertébrés (occurrence et poids de capture par espèce) pour des traits de chalut effectués à des profondeurs allant de 10 à 50 mètres.Les données ont été récoltées lors de différentes missions en mer :• 28 juin au 5 juillet 2019 (NGCC Leim)• 30 septembre au 9 octobre 2019 (NGCC Leim)• 1er octobre au 10 octobre 10 2020 (NGCC Leim)• 22 avril au 5 may 2021 (NGCC Perley)• 15 octobre au 24 octobre 2021 (NGCC Perley)• 24 juin au 15 juillet 2022 (NGCC LEIM)Le chalut à perche utilisé pour générer ce jeu de données est constitué d’un cadre, d’une largeur de 2.8 m et d’une hauteur de 0.8 m, équipé d’un filet de 6.5 m de long en mailles diamant 40 mm, lequel est doublé d’un filet (jupette) de mailles carrées (5 mm) au niveau du cul-de-chalut (longueur 2 m) et d’un tablier protecteur (mailles 75 mm) sur la portion ventrale. Au niveau de la partie inférieure de l’engin, trois chaînes débusqueuses sont tendues à la base des patins. Chaque station correspond à un trait de chalut d’une durée de 5 à 10 minutes réalisé le long d’un isobathe à une vitesse d’environ 2 nœuds. La capture de chaque trait a été déposée sur une table de tri sur le pont et les organismes ont été triés et identifiés à la meilleure résolution taxonomique possible. La plupart des taxon ont été pesés séparément. Certains taxons d’invertébrés ont été sous-échantillonnés, dénombrés et pesés afin d’estimer leur contribution (en poids et en nombre) à la capture totale. De plus, les 30 premier poissons de chaque espèce ont été mesurés et pesés individuellement.Tous les noms taxonomiques ont été vérifiés sur le registre mondial des espèces marines (WoRMS) pour correspondre aux normes reconnues. La correspondance WoRMS a été placée dans le champ scientificNameID du fichier d'occurrence. Le contrôle de la qualité des données a été effectué à l'aide des packages R obistools et worrms. Tous les emplacements d'échantillonnage ont été reportés sur une carte afin d'effectuer un contrôle visuel confirmant que les coordonnées de latitude et de longitude se trouvaient dans la zone d'échantillonnage décrite.Les données acquises lors des relevés comprennent aussi : 1) les données d’occurrence des taxons d'invertébrés épibenthiques et de végétation aquatique submergée provenant d’un système de caméras photo déposé, 2) les données d’occurrence des poissons et invertébrés observés dans des échantillons vidéo provenant d'un système de caméras vidéo sous-marines appâté, 3) la classification du substrat basée sur les échantillons photos récoltés avec le système de caméras déposé, 4) des mesures océanographiques de la colonne d'eau d’un CTD Seabird 19plus V2 type profilage (conductivité, température, profondeur, rayonnement photosynthétique actif, pH, oxygène dissous), 5) les concentrations de nutriments (NO2, NO3, NH4, PO4, SiO3) et carbone organique dissous (DOC) et 6) la vitesse et la direction du courant mesurées par des inclinomètres. Les deux premiers éléments sont disponibles en tant que jeux de données indépendants sur le portail OBIS. Pour obtenir les données des éléments 3 à 6 et/ou les données biologiques récoltées sur différents taxons de poissons et invertébrés, veuillez contacter David Lévesque ou Marie-Julie Roux.Les relevés scientifiques ont été réalisés dans le cadre du Programme sur les données environnementales côtières de référence de Pêches et Océans Canada et du Plan de protection des océans. Cette initiative vise à acquérir des données environnementales de base qui contribuent à la caractérisation des zones côtières d’importance en soutient aux évaluations fondées sur des preuves et la prise de décisions de gestion afin de préserver les écosystèmes marins. Ce qui contribute à l‘élaboration d’objectifs de conservation écosystémiques dans la gestion des ressources halieutiques nécessite le développement de méthodes d’échantillonnage permettant de maximiser la collecte de données sur l’écosystème, tout en minimisant l’impact sur les organismes et le milieu marin. Ce projet vise la caractérisation écosystémique de la zone côtière de l’estuaire du Saint-Laurent entre Portneuf-sur-Mer et Godbout (QC), incluant la physico-chimie de l’eau, le phytoplancton, le zooplancton, la végétation submergée, les habitats benthiques ainsi que les assemblages de poissons et invertébrés. L’échantillonnage est réalisé en combinant des méthodes conventionnelles telles que le profilage CTD, les filets à zooplancton et le chalut à perche, à des méthodes non-extractives telles les caméras photo déposées et les systèmes de caméras vidéo stéréoscopiques appâtés. Les données amassées contribueront à définir les conditions écosystémiques de référence dans la zone d’étude; explorer les liens entre les conditions environnementales, la structure des habitats et les assemblages biologiques; identifier des habitats d’importance pour les espèces marines; ainsi qu’à l’évaluation de la performance des méthodes d’échantillonnage visuel par rapport aux méthodes conventionnelles. Les résultats permettront d’optimiser les suivis saisonniers ou annuels en vue de mieux comprendre les effets directs et indirectes des activités humaines en milieux côtiers.Ce projet a été financé par le Programme sur les données environnementales côtières de référence de Pêches et Océans Canada dans le cadre du Plan de protection des océans.
Biodiversité du relevé du crabe des neiges au chalut dans l'estuaire du Saint-Laurent (2019)
Un relevé de recherche sur le crabe des neiges (Chionoecetes opilio) a été réalisé du 7 au 26 juillet 2019 dans l'estuaire du Saint-Laurent entre Forestville, Baie-Comeau et Matane. L’objectif principal de ce relevé était d’évaluer l’abondance du crabe des neiges et des espèces benthiques associées à l’habitat du crabe des neiges. Seules les données des espèces benthiques associées à l’habitat du crabe des neiges sont présentées dans ce jeu de données.Les données ont été récoltées selon un plan d'échantillonnage à stations fixes constitué de 66 stations, entre 31 et 279 mètres de profondeur. Les spécimens ont été récoltés à l’aide d’un chalut à perche d’une largeur totale de 2.8 mètres et une hauteur totale de 0.76 mètre. Le cul du chalut était doublé avec un filet de maille étirée de 16 millimètres afin de récolter les petits individus. Les traits ont été réalisés à une vitesse visée de 2 nœuds et d'une durée visée de 15 minutes. Les positions début et fin ont été notées pour calculer la distance parcourue à chaque trait à l'aide de la bibliothèque geosphere de R. """La distance moyenne des traits était d’environ 25 m.""" La superficie couverte à chaque trait était le produit de l’ouverture du chalut et de la distance parcourue.Les deux fichiers fournis (format DarwinCore) sont complémentaires et sont reliés par la clé « IDactivité ». Le fichier «Information_activité» comprend les informations génériques de l'activité, notamment la date et la localisation. Le fichier «occurrence_taxon» comprend la taxonomie des espèces observées, identifiées à l’espèce ou au niveau taxonomique le plus bas possible. Pour obtenir l’évaluation de l’abondance et de la biomasse, communiquez avec Cédric Juillet (cedric.juillet@dfo-mpo.gc.ca).Pour les contrôles de qualité, tous les noms taxonomiques ont été vérifiés sur le registre mondial des espèces marines (WoRMS) pour correspondre aux normes reconnues. La correspondance WoRMS a été placée dans le champ « IDnomScientifique » du fichier d'occurrence. Les contrôles de la qualité des données ont été effectués à l'aide des bibliothèques R obistools et worrms. Tous les emplacements d'échantillonnage ont été validés spatialement.
Zones d'importance pour la mise bas et la migration du Phoque du Groenland dans le golfe du Saint-Laurent et dans l'océan Atlantique
Cette couche représente les zones d'importance pour le Phoque du Groenland (Pagophilus groenlandicus). Elle inclut les trois zones de mise bas principales de cette espèce ainsi que les voies migratoires empruntées par le Phoque du Groenland pour se déplacer entre son aire d’estivage (baie de Baffin) et son aire d'hivernage (golfe du Saint-Laurent et côtes de Terre-Neuve-et-Labrador). À noter que ces données ne représentent pas la distribution du Phoque du Groenland.Référence:MPO. 2020. Situation des phoques du Groenland, Pagophilus groenlandicus, de l’Atlantique Nord-Ouest en 2019. Secr. can. de consult. sci. du MPO, Avis sci. 2020/020.
Biodiversité du relevé du buccin (Buccinum) à la drague dans l'estuaire du Saint-Laurent
Un relevé de recherche sur le buccin commun (Buccinum undatum) est réalisé bisannuellement dans trois secteurs de l’estuaire du Saint-Laurent depuis 2005 afin d’évaluer l’abondance du buccin et des espèces benthiques associées à l’habitat du buccin. Seules les données des espèces benthiques associées à l’habitat du buccin sont présentées dans ce jeu de données. Le relevé a été mis en place en 2005 à la suite de la pêche intensive du début des années 2000 dans la région de la Haute-Côte-Nord. Les trois secteurs couverts par le relevé étaient basés sur la distribution de l’effort de la pêche commerciale de 2001 à 2004.Les relevés ont été effectués entre la mi-juillet et le début d’août de 2005 à 2019 sur la rive nord de l’estuaire du Saint-Laurent entre Portneuf-sur-Mer et Baie-Comeau selon un plan d'échantillonnage à stations fixes. Trois secteurs ont été inventoriés à chaque relevé, soit Forestville (69°03’11"W-48° 39’24"N et 68°56’02"W-48° 46’16"N), Pointe-aux-Outardes (68°35’53"W-48° 59’32"N et 68°25’30"W-49° 01’06"N) et Baie-Comeau (68°06’04"W-49° 08’40"N et 68°05’10"W-49° 12’26"N). Depuis 2007, le plan d’échantillonnage est constitué de 55 stations à Forestville, 26 stations à Pointe-aux-Outardes et de 11 stations à Baie-Comeau. L'intervalle de profondeur ciblé aux trois secteurs était d'environ 5 à 40 m. Les spécimens ont été récoltés à l’aide d’une drague à pétoncle de type Digby d’une largeur totale de 3.04 m constituée de quatre paniers doublés de Vexar™ de 19 mm de maillage afin de récolter les petits individus. Les positions début et fin ont été notées pour calculer la distance parcourue à chaque trait à l'aide de la bibliothèque geosphere de R. Depuis 2011, la distance moyenne des traits était d’environ 300 m. La superficie couverte à chaque trait était le produit de la largeur de la drague et de la distance.Les trois fichiers fournis (format DarwinCore) sont complémentaires et sont reliés par la clé « IDactivité ». Le fichier «Information_activité» comprend les informations génériques de l'activité, notamment la date et la localisation. Le fichier «information_supplémentaire_activité_et_occurrence» comprend notamment la taille de l'échantillon, le protocole et l’effort d’échantillonnage. Le fichier «occurrence_taxon» comprend la taxonomie des espèces observées, identifiées à l’espèce ou au niveau taxonomique le plus bas possible. Pour obtenir l’évaluation de l’abondance et de la biomasse, communiquez avec Virginie Roy (virginie.roy@dfo-mpo.gc.ca).Pour les contrôles de qualité, tous les noms taxonomiques ont été vérifiés sur le registre mondial des espèces marines (WoRMS) pour correspondre aux normes reconnues. La correspondance WoRMS a été placée dans le champ « IDnomScientifique » du fichier d'occurrence. Les cas spéciaux ont été notés dans le champ « commentairesIdentification » et certains spécimens sélectionnés ont été confirmés à l'aide de photos de terrain. Les contrôles de la qualité des données ont été effectués à l'aide des bibliothèques R obistools et worrms. Tous les emplacements d'échantillonnage ont été validés spatialement.
Adelges abietis
Découvertes historiques de Adelges abietis
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