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Hydrologie : isolines de ruissellement annuel normal (1961 - 1990) - Historique
Ruissellement annuel normal pour 1961 à 1990, en mm** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **
Maximum et minimum annuels des niveaux ou débits d'eau instantanés
Les données de maximum et minimum annuels sont le maximum et le minimum des valeurs instantanées pour une année donnée.
Maximum et minimum annuels des moyennes quotiennes des niveaux ou débits d'eau
Les données de maximum et minimum annuels des moyennes quotiennes sont le maximum et le minimum des valeurs de moyennes quotidiennes pour une année donnée.
Indice d'humidité climatique au Canada - Période de référence (1981-2010)
La sécheresse est un déficit de précipitation sur une période prolongée, habituellement une saison ou davantage, qui entraîne une pénurie d’eau ayant des effets néfastes sur la flore, la faune et la population. L'indice d’humidité climatique (IHC) exprime la différence entre les précipitations annuelles et l’évapotranspiration potentielle, c’est-à-dire la perte potentielle d’eau par évaporation d’un milieu couvert de végétation. Un IHC positif révèle des conditions humides et des précipitations suffisantes au maintien d’une forêt à couvert fermé. À l’opposé, un IHC négatif reflète des conditions climatiques sèches, qui peuvent au mieux soutenir des zones discontinues de type forêt-parc. L’IHC est bien adapté pour évaluer les conditions d'humidité dans les régions sèches comme les provinces des Prairies et a été utilisé pour d'autres études écologiques.L’évapotranspiration potentielle moyenne annuelle (PET) a été estimée pour des périodes de 30 ans au moyen de l’équation Penman-Monteith modifiée de Hogg (1997), selon des données de température mensuelles réparties sur une grille de 10 km. Les données qui figurent sur les cartes sont des moyennes sur 30 ans. Les valeurs historiques de l’IHC (1981 à 2010) ont été créées en établissant la moyenne de l’IHC annuel calculé au moyen des données mensuelles interpolées de température et de précipitations produites à partir des rapports des stations climatiques. Pour les années à venir, la projection des valeurs de l’IHC a été basée sur des valeurs mensuelles de température et de précipitations dont l’échelle a été réduite et qui ont été simulées au moyen du modèle canadien du système terrestre, version 2 (Canadian Earth System Model version 2 [CanESM2]), pour deux profils représentatifs d’évolution de concentration (“Representative Concentration Pathways” ou RCP). Ces RCP découlent de quatre scénarios relatifs à l’évolution de la concentration en gaz à effet de serre établis par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dans son cinquième rapport d'évaluation. Le RCP 2.6 (appelé réduction rapide des émissions) suppose que les gaz à effet de serre atteindront leur concentration maximale au cours de la période 2010-2020 avant d’entamer leur déclin. Selon le scénario RCP 8.5 (appelé augmentation continue des émissions), la concentration en gaz à effet de serre continuera de croître tout au long du 21e siècle.Couche de données fournie : l’indice d’humidité climatique annuel moyen au Canada pour la période de référence (1981-2010).Référence : Hogg, E.H. 1997. Temporal scaling of moisture and the forest-grassland boundary in western Canada. Agricultural and Forest Meteorology 84,115–122.
Plans de gestion des ressources forestières - 250k
Le but de cette classe de caractéristiques est d'identifier les zones de coupe annuelles autorisées et les zones limites annuelles individuelles, conformément aux paragraphes 20 (2) et 31 (10) du Règlement sur les ressources forestières) de la Loi sur les ressources forestières. Lorsqu'il n'existe pas de plan de gestion des ressources forestières (PGRF) approuvé pour une zone, la récolte des ressources forestières ne peut être autorisée que dans une quantité inférieure à celle prescrite par la réglementation pour cette zone. Le paragraphe 31 (1) du Règlement sur les ressources forestières fixe les limites annuelles pour la récolte des ressources ligneuses dans les zones ne disposant pas d'un FRMP. Ces zones sont désignées sous le nom de régions limites annuelles dans l'annexe 1 du règlement intitulé Zones de récolte du bois. Ces limites annuelles sont fixées comme la coupe annuelle autorisée pour chacune des zones, jusqu'à ce qu'un plan de gestion des ressources forestières soit approuvé pour cette zone.Distribué depuis [GeoYukon] (https://yukon.ca/geoyukon) par le [gouvernement du Yukon] (https://yukon.ca/maps). Découvrez d'autres données cartographiques numériques et des cartes interactives issues de la collection de données cartographiques numériques du Yukon.Pour plus d'informations : [geomatics.help@yukon.ca] (mailto : geomatics.help@yukon.ca)
PAE
Couche du PAE à la Ville de Trois-Rivières
FADM - Zone d'approvisionnement en bois (TSA)
La représentation spatiale d'une zone d'approvisionnement en bois ou d'un bloc d'approvisionnement de la TSA : Une zone d'approvisionnement en bois est une zone désignée établie par le ministère afin de mettre en œuvre des principes de gestion des ressources sains et intégrés afin d'améliorer les coupes annuelles autorisées. Les TSA étaient initialement définies par un schéma établi de flux de bois entre les unités de gestion et les principales industries utilisatrices de bois. Ils constituent l'unité principale pour la détermination de la réduction annuelle admissible (AAC). Un bloc d'approvisionnement de la TSA est une zone désignée au sein de la TSA où le ministère approuve les réductions annuelles autorisées.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **
Indice des habitats dynamiques. (2000-2006)
Indice des habitats dynamiques. (2000-2005) Des satellites comme MODIS nous permettent d’obtenir des estimations du rayonnement photosynthétiquement actif. Connaître la couverture terrestre permet de calculer quelle fraction du rayonnement solaire incident est absorbée par la végétation. La fraction absorbée par la végétation du rayonnement photosynthétiquement actif (fPAR) est une indication de la vitesse à laquelle la photosynthèse des tissus végétaux transforme le dioxyde de carbone et la lumière solaire en hydrates de carbone. L’addition de tout le carbone assimilé par le couvert végétal au fil du temps donne la productivité primaire brute d’un paysage. Nous utilisons l’imagerie quotidienne diffusée par MODIS pour produire des images composites périodiques et des produits de données mensuels. Nous calculons sur six ans (2000 à 2005) la somme cumulée moyenne annuelle de 72 mesures mensuelles de la fPAR, afin d’estimer toute production végétale annuelle du paysage, la mesure mensuelle de la fPAR mensuelle minimale moyenne intégrée sur un an, laquelle décrit la couverture verte annuelle minimum du paysage observé, et la moyenne intégrée de la covariance annuelle de fPAR, qui décrit la saisonnalité du paysage observé. Nous partageons également la combinaison des valeurs annuelles intégrées aux fins de visualisation et d’analyse comme l’indice des habitats dynamiques [IHD] (Coops et coll. 2008 donnent des informations supplémentaires sur le contexte et la description). Lorsque vous utilisez ces données, veuillez citer : Coops N.C., Wulder M.A., Duro D.C., Han T. et Berry S. 2008. « The development of a Canadian dynamic habitat index using multi-temporal satellite estimates of canopy light absorbance ». Ecological Indicators, vol. 8, no 5, p. 754–766. DOI : https://doi.org/10.1016/j.ecolind.2008.01.007 .( Coops et al. 2008).
Nombre de grands feux (>200 ha) - Période de référence (1981-2010)
Le régime des feux désigne les patrons de saisonnalité, de fréquence, d’étendue, de continuité spatiale, d’intensité, de type (p. ex., feu de cime ou de surface) et de gravité des feux dans une région ou un écosystème donné.Le nombre de grands feux est la somme annuelle du nombre de feux de plus de 200 hectares (ha) survenant par unité de 100 000 ha. Celui-ci a été calculé à l’aide de zones homogènes de régime (ZHR) des feux. Ces zones ZHR représentent des régions où le régime de feux est similaire sur une vaste échelle spatiale (Boulanger et al. 2014). Cette zonation permet de reconnaître les régions où les régimes des feux ont été inhabituels. Ces régimes inhabituels passent souvent inaperçus lorsque les feux sont regroupés en fonction de classifications administratives ou écologiques.Les données sur les feux proviennent de la Base nationale de données sur les feux de forêt du Canada couvrant 1959-1999 (pour l’établissement des ZHR) et 1959-1995 (pour l’établissement du modèle). La modélisation Régression multivariée par spline adaptative (en anglais MARS pour « Multivariate adaptive regression splines ») a été utilisée pour relier les attributs mensuels du régime des feux avec les variables mensuelles climatiques/feu-météo pour chaque ZHR. Les données projetées ont été simulées au moyen du modèle canadien du système terrestre, version 2 (Canadian Earth System Model version 2 [CanESM2]), et leur échelle a été réduite au moyen d’ANUSPLIN pour deux profils représentatifs d’évolution de concentration (“Representative Concentration Pathways” ou RCP). Ces RCP découlent de quatre scénarios relatifs à l’évolution de la concentration en gaz à effet de serre établis par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dans son cinquième rapport d'évaluation. Le RCP 2.6 (appelé réduction rapide des émissions) suppose que les gaz à effet de serre atteindront leur concentration maximale au cours de la période 2010-2020 avant d’entamer leur déclin. Selon le scénario RCP 8.5 (appelé augmentation continue des émissions), la concentration en gaz à effet de serre continuera de croître tout au long du 21e siècle. Couche de données fournie : le nombre de grands feux (>200 ha) au Canada pour la période de référence (1981-2010).Référence : Boulanger, Y., Gauthier, S., et coll. 2014. A refinement of models projecting future Canadian fire regimes using homogeneous fire regime zones. Revue canadienne de recherche forestière 44, 365-376.
Collecte des résidus domestiques dangereux
Localisation des collectes annuelles de résidus domestiques dangereux à Repentigny.
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