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Grandes unités écosystémiques - Région du Centre-Ouest
Les grandes unités écosystémiques ont été cartographiées à l'aide de méthodes de modélisation prédictive provenant de diverses sources de données (allant de 1:50 000 à 1:250 000) et sont référencées au cadre spatial numérique CanVec (1:50 000). Les unités écosystémiques générales (BEU) sont un niveau du système de classification des écosystèmes bioclimatiques du Yukon qui représente les zones présentant des communautés végétales étendues et des types de terrain (sols et topographie) similaires au sein des zones bioclimatiques. Les grandes unités écosystémiques sont décrites dans le rapport connexe intitulé « Écosystèmes régionaux du centre-ouest du Yukon, partie 1 : descriptions des écosystèmes ». L'application prévue pour les grandes unités écosystémiques cartographiées est de 1:100 000 ou moins (échelle 1:100 000 - 1:250 000). Les interprétations dérivées des produits cartographiques ne doivent pas être appliquées à des échelles plus détaillées, même si la carte matricielle de 30 m qui en résulte permet aux utilisateurs de visualiser les résultats à des résolutions plus détaillées. Avec de nouvelles informations, les limites et les désignations des grandes unités écosystémiques peuvent changer. Les mises à jour des grandes unités de l'écosystème ne sont effectuées que périodiquement. Pour obtenir les informations les plus récentes ou si vous avez des questions, veuillez contacter le Programme de classification écologique et paysagère (ELC@yukon.ca).Distribué depuis [GeoYukon] (https://yukon.ca/geoyukon) par le [gouvernement du Yukon] (https://yukon.ca/maps). Découvrez d'autres données cartographiques numériques et des cartes interactives issues de la collection de données cartographiques numériques du Yukon.Pour plus d'informations : [geomatics.help@yukon.ca] (mailto : geomatics.help@yukon.ca)
Ecodivisions - Classification des écosystèmes des écorégions de la Colombie-Britannique
Les écodivisions sont des zones présentant une grande uniformité climatique et physiographique, définies au niveau continental.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **
Unités de production écosystémiques dans l’océan Atlantique Nord Ouest
Pepin et ses collaborateurs (2014) ont affirmé que trois échelles spatiales imbriquées ont été désignées comme pertinentes aux fins de l’élaboration de résumés et de plans de gestion d’écosystèmes : l’échelle des biorégions, l’échelle des unités de production écosystémique (UPE) et l’échelle des écorégions. Une biorégion est composée d’une ou de plusieurs UPE, et une UPE consiste en une combinaison d’écorégions, qui représentent des éléments ayant des caractéristiques physiques et biologiques différentes, selon les critères d’analyse appliqués. Pepin et ses collaborateurs (2014) ont fait état de la consolidation des données et des analyses de la structure des écorégions pour les zones du plateau continental qui s’étendent de la mer du Labrador au golfe médio-atlantique et ont formulé des recommandations sur la désignation des UPE dans la zone visée par la Convention de l’OPANO. Les résultats de deux analyses en classification automatique à k moyennes (une avec des contraintes géographiques et l’autre sans contrainte) et les connaissances d’experts (y compris l’emplacement des écorégions, les connaissances sur la répartition des principales ressources marines et des grands stocks de poissons, et la proximité géographique aux fins de la désignation et de la délimitation des unités de gestion potentielles) ont guidé l’évaluation du groupe de travail sur la science et l’évaluation des écosystèmes de l’OPANO (Organisation des pêches de l’Atlantique Nord-Ouest). Le consensus final des discussions a permis de désigner huit (8) UPE principales qui pourraient être proposées comme unités de gestion (des isobathes de 50 mètres, où les données des navires de recherche étaient disponibles, vers le large jusqu’aux isobathes de 1 500 mètres); ces unités sont les suivantes : le Plateau du Labrador (sous zones de l’OPANO 2GH), le Plateau nord-est de Terre Neuve (sous-zones 2J3K), les Grands Bancs (sous zones 3LNO), le Bonnet Flamand (sous zone 3M), le Plate-forme Néo-Écossais (sous zones 4VnsWX), le Banc de Georges (portions des sous zones 5Ze et 5Zw), le Golfe du Maine (sous zone 5Y et portion de la sous zone 5Ze) et L’Anse Médio-Atlantique (portion de la sous zone 5Zw et des sous zones 6ABC). Le Plateau sud de Terre Neuve (sous-zone 3Ps) n’a pas été inclus dans l’analyse originale, car les données du relevé d’automne n’étaient pas disponibles. Cette zone a cependant été ajoutée ultérieurement à titre d’UPE, car une analyse supplémentaire de la structure et des tendances des communautés de poissons réalisée à l’aide des données du relevé du printemps a révélé que cette zone est fortement influencée par les UPE avoisinantes (NAFO 2015)Les unités de gestion potentielles proposées correspondent aux UPE qui désignent les principales zones des biorégions qui comportent un réseau trophique ou un système de production raisonnablement bien défini. Le groupe de travail a souligné que la solution consensuelle constitue un compromis dont le but est de définir les unités de gestion en fonction des limites des sous zones existantes de l’OPANO qui sont appropriées aux fins de l’établissement d’estimations pour l’écosystème et la production halieutique. Références : NAFO. 2015. Report of the 8th Meeting of the NAFO Scientific Council (SC) Working Group on Ecosystem Science and Assessment (WGESA). 17-26 November 2015, Dartmouth, Canada. NAFO SCS Doc. 15/19.Pepin, P., Higdon, J., Koen-Alonso, M., Fogarty, M., and N. Ollerhead. 2014. Application of ecoregion analysis to the identification of Ecosystem Production Units (EPUs) in the NAFO Convention Area. NAFO SCR Doc. 14/069.
Base de données sur la biodiversité des poissons
La base de données scientifiques sur la biodiversité est une compilation de données sur les communautés de poissons tirées des relevés scientifiques du MPO. Les données comprennent : le site d’échantillonnage, la date, le nombre de poissons, les espèces de poissons, la longueur des poissons et les informations connexes sur l’habitat.
Études des côtes et des écosystèmes marins du Nord dans la mer de Beaufort canadienne—informations sur l'échantillonnage
Ce projet avait comme objectif de recueillir des données pour élaborer un modèle du réseau alimentaire des niveaux trophiques inférieurs de la zone littorale de la mer de Beaufort. L'échantillonnage a eu lieu de 2005 à 2008 à bord du NGCC Nahidik. Le caractère multidisciplinaire du programme Nahidik a permis de réaliser des mesures de biologie et d'écologie (production primaire, phytoplancton, zooplancton, benthos, poissons), d'océanographie chimique et physique, de contaminants, de géologie et d'hydroacoustique. Les données ont été recueillies en juillet et août de chaque année. Le programme Nahidik a fourni des données permettant de constituer une base de référence pour les études futures, ainsi qu'une source d'information pour l'évaluation environnementale.
Représentation des aires protégées terrestres par écosection
Limites d'écosection avec pourcentage de zones protégées, nombre de zones protégées qui se chevauchent et autres attributs ajoutés à la suite du géotraitement dans l'application Protected Area System Overview (PASO). La représentation des aires protégées et des parcs par écosection fournit un contexte paysager pour les processus de planification des ressources naturelles tels que les plans de gestion, le zonage de l'utilisation des terres, l'évaluation des risques environnementaux, l'analyse du paysage, l'approvisionnement en habitat et la gestion des espèces hautement prioritaires. Les écosections se distinguent les unes des autres par des caractéristiques durables telles que de légères variations physiographiques et macroclimatiques ou océanographiques. Pour plus d'informations sur les écosections et le système de classification des écorégions, voir : http://www.env.gov.bc.ca/ecology/ecoregions/index.html. Pour des avertissements importants concernant l'utilisation de ces données pour l'analyse spatiale, consultez la section Qualité des données des métadonnées.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **
Écologie Reproductive de Zostera marina L. (Zostère marine) dans Diverses Conditions Environnementales
La reproduction sexuée est essentielle à la résilience des herbiers marins touchés par la dégradation de l'habitat ou les changements environnementaux, car des banques de semences robustes permettent à de nouvelles pousses de s'établir chaque année. Les stratégies de reproduction des herbiers marins s'étendent sur un continuum allant de strictement annuel à vivace, en fonction des conditions environnementales locales. Nous avons examiné la dynamique de reproduction des herbiers de Zostera marina sur six sites de la côte atlantique du Canada afin de caractériser la manière dont les stratégies du cycle de vie sont façonnées par le milieu environnant. Les sites ont été classés comme protégés contre les vagues et exposés aux vagues, où les sites protégés étaient chauds, peu profonds, avec peu de mouvement d'eau et des sédiments boueux, et les sites exposés étaient peu profonds ou profonds, avec de l'eau plus froide et des sédiments sableux. Alors que des stratégies de cycle biologique mixtes étaient évidentes à tous les sites, les herbiers de zostères protégés présentaient à la fois l'effort de reproduction sexuelle le plus élevé et le plus faible par rapport aux herbiers exposés. Ces herbiers subissaient régulièrement des contraintes thermiques, avec une plage de température plus élevée et des épisodes de fortes températures d’eau prolongés par rapport aux herbiers exposés. Le développement des pousses reproductrices était similaire dans tous les sites avec des degrés-jours de croissance comparables au début et à la fin de l'anthèse, mais la première date de floraison était plus précoce dans les sites protégés plus chauds par rapport aux sites exposés. Avec différentes densités de pousses reproductrices entre les sites, la production de graines, la rétention des graines et le recrutement des semis ont également fortement varié. Un seul site, situé dans une lagune chaude, peu profonde et protégée, contenait une population à cycle biologique mixte avec un effort de reproduction élevé (33,7 %), une banque de graines solide et un établissement de semis élevé. Cependant, une population principalement pérenne avec le plus faible effort de reproduction (0,5%) a été identifiée sur le site le plus chaud, ce qui suggère que les conditions ici ne pouvaient pas soutenir une reproduction sexuée élevée. La robustesse des banques de graines était fortement liée à la densité des pousses reproductrices, bien que le rôle de la rétention des graines, de la germination et de la survie des semis nécessite une étude plus approfondie. Notre étude donne un aperçu d'un aspect clé de la résilience des herbiers marins et suggère que les évaluations de la résilience devraient inclure la densité des pousses reproductrices pour éclairer la gestion et la protection des herbiers.Citer ces données comme suit : Vercaemer B. et Wong M. Écologie reproductive de Zostera marina L. (zostère marine) dans diverses conditions environnementales. Date de publication Mai 2022. Division de la science des écosystèmes côtiers, Pêches et Océans Canada, Dartmouth, (N-É). https://open.canada.ca/data/fr/dataset/56cfea6f-aeca-47ed-94ab-c519d9e63c91
Zones historiques de gestion des incendies
LCet ensemble de données indique les limites des six zones de gestion des incendies de la province qui existaient avant 2014 et dans lesquelles la plupart des incendies de forêt ont fait l’objet du même type d’intervention. Ces zones de gestion étaient fondées sur les éléments suivants : * objectifs communs de gestion des forêts et des incendies de forêt * utilisation des terres * densité des valeurs à risque * charge calorifique * écologie forestière La Stratégie de gestion des feux de végétation de 2014 est passée d’une approche fondée sur des zones à une approche selon laquelle chaque incendie de forêt est évalué et fait l’objet d’une intervention appropriée selon les circonstances et l’ampleur de l’incendie.** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie. Les valeurs françaises pour le titre et la description du jeu de données proviennent de la province de l’Ontario alors que celles des mots-clés et des noms des ressources sont le résultat d'une traduction automatique (Amazon Translate) **
Paramètres de la diversité communautaire et de la biomasse du poisson démersal (de fond) dans les biorégions des plateaux Nord et Sud
DescriptionPour préserver la biodiversité marine, il faut comprendre l’influence conjointe des changements environnementaux constants et des pressions exercées par la pêche. Pour relever ce défi, il faut mener des analyses et une surveillance rigoureuses de la biodiversité qui tiennent compte des facteurs de changement potentiels. Ici, nous nous demandons comment la biodiversité des poissons démersaux dans les eaux canadiennes du Pacifique a changé depuis 2003 et évaluons dans quelle mesure ces changements peuvent être expliqués par les changements environnementaux et la pêche commerciale. À l’aide d’un modèle spatiotemporel multispécifique fondé sur les données indépendantes des pêches, nous constatons que la densité des espèces (nombre d’espèces par zone) et la biomasse communautaire ont augmenté durant cette période. Les changements environnementaux survenus durant cette période ont été associés aux fluctuations temporelles de la biomasse des espèces et de la communauté en général. Toutefois, les changements environnementaux étaient moins associés aux changements dans la présence des espèces. Par conséquent, les augmentations estimées de la densité des espèces ne seront probablement pas attribuables aux changements environnementaux. Nos résultats correspondent plutôt au rétablissement continu de la communauté des poissons démersaux attribuable à une réduction de l’intensité de la pêche commerciale par rapport aux niveaux historiques. Ces résultats donnent des renseignements clés sur les facteurs du changement de la biodiversité qui peuvent éclairer la gestion axée sur les écosystèmes.Les couches montrées représentent trois paramètres communautaires : 1) la densité des espèces (c.-à-d. richesse spécifique), 2) la diversité de Hill-Shannon et 3) la biomasse communautaire. Toutes les couches sont fournies à une résolution de 3 km dans le domaine d’étude pour la période s’échelonnant de 2003 à 2019. Pour chaque paramètre, nous présentons des couches pour trois statistiques sommaires, soit 1) la valeur moyenne de chaque cellule de grille sur la plage temporelle, 2) la probabilité que la cellule de grille soit un point chaud pour ce paramètre et 3) le coefficient de variation temporel (c.-à-d. écart-type/moyenne) pour toutes les années.Méthodes :L’analyse qui a produit ces couches est présentée dans Thompson et al., 2022. L’analyse s’appuie sur les données des relevés synoptiques au chalut de fond des poissons démersaux dans le bassin Reine-Charlotte, le détroit d’Hécate, la côte ouest de l’île de Vancouver et la côte ouest d’Haida Gwaii. Ces relevés ont été effectués de 2003 à 2019. Les espèces de poissons cartilagineux et osseux capturées indiquées dans les relevés des poissons de fond du MPO qui étaient présentes dans au moins 15 % de tous les chaluts de la plage de profondeurs dans laquelle elles étaient capturées ont été incluses. Cette plage de profondeurs était définie comme comprenant 95 % de tous les chaluts dans lesquels ces espèces étaient présentes. L’ensemble de données final utilisé dans notre analyse comprenait 57 espèces (tableau S1 du rapport).La dynamique spatiotemporelle de la communauté des poissons démersaux a été modélisée à l’aide du cadre et du progiciel de modélisation hiérarchique des communautés d’espèces (HMSC) (Tikhonov et al., 2021) dans R. Ce cadre utilise l’inférence bayésienne pour rajuster un modèle mixte hiérarchique généralisé multivariable. Nous avons modélisé la dynamique communautaire au moyen d’un modèle à obstacles qui comprend deux sous-modèles : un modèle présence-absence et un modèle de biomasse conditionnel à la présence. Notre liste de covariables environnementales comprenait la profondeur du fond, l’indice de position bathymétrique (BPI), la vitesse moyenne des marées estivales, la turbidité du substrat, la roccosité du substrat, la question à savoir si le chalut se trouvait à l’intérieur ou à l’extérieur de l’empreinte de chalutage fondée sur l’écosystème, et la région du relevé, l’écart de température moyen près du fond en été, l’écart de l’oxygène dissous moyen près du fond en été, les vitesses moyennes du courant entre les rives et le long de la rive près du fond océanique en été, la production primaire intégrée moyenne à la profondeur en été et l’effort de pêche commerciale à l’échelle locale.Des couches sont présentées pour trois paramètres relatifs aux communautés. Tous les paramètres doivent être interprétés comme représentant la valeur à laquelle on s’attendrait dans la prise d’un trait moyen dans les relevés synoptiques au chalut de fond des poissons démersaux effectués dans une cellule de grille de 3 km donnée. La densité des espèces (parfois appelée richesse spécifique) doit être interprétée étant comme le nombre des 57 espèces qui seraient prises dans un chalut. La diversité de Hill-Shannon est une mesure de la diversité qui accorde une plus grande importance aux communautés où la biomasse est répartie également entre les espèces. La biomasse communautaire est la biomasse totale des 57 espèces qui devrait être capturée par kilomètre carré dans un trait moyen. Sources de données :Les données de recherche ont été fournies par l’Unité des données sur le poisson de fond de la direction des sciences du Pacifique pour les relevés de recherche de la base de données GFBio entre 2003 et 2019 qui ont été effectués dans quatre régions: le bassin Reine-Charlotte, le détroit d'Hécate, la côte ouest de l’île de Vancouver et la côte ouest d’Haida Gwaii. Notre analyse exclut les espèces qui sont rarement prises dans les chaluts de recherche; nos estimations n’incluraient donc pas l’occurrence ou la biomasse de ces espèces rares.Les données sur la pêche commerciale ont été consultées au moyen d’un script R du MPO détaillé à https://github.com/pbs-assess/gfdata. L’effort local de pêche commerciale a été calculé à partir de ces données.Les couches de substrat ont été obtenues à partir d’un modèle de substrat (Gregr et al., 2021).Les couches océanographiques (température au fond, oxygène dissous, vitesses de marée et de circulation, production primaire) ont été obtenues à partir d’une simulation rétrospective du modèle de la marge continentale de la Colombie-Britannique (Peña et al., 2019).Incertitudes :Il est possible que les espèces qui ne sont pas bien échantillonnées par les relevés au chalut ne soient pas estimées avec exactitude par notre modèle. Le modèle ne comprenait pas d’effets aléatoires spatiotemporels, ce qui sous-estime probablement la variabilité spatiotemporelle dans la région. Il importe également de souligner l’incertitude des covariables et du modèle. Les estimations des points chauds donnent une mesure de l’incertitude/la certitude du modèle.
Paysage Benthique de la Baie de Fundy
La couche de données (.shp) présentée est le résultat d’une méthode non supervisée de classification de l’habitat de fond marin dans la baie de Fundy (Atlantique Nord-Ouest, Canada). Cette méthode consiste à séparer les variables environnementales issues de la bathymétrie multifaisceaux (pente, indice de position bathymétrique), de la rétrodiffusion et de données océanographiques (vitesse de cisaillement des interactions vagues-courants) en unités spatiales (c.-à-d., objets d’une image), puis à répartir ces unités séparées sur les plans acoustique et océanographique en sept classes d’habitat (substrat et blocs rocheux, sédiments mixtes, sable graveleux, sable, gravier limoneux avec anémones, limon, et sédiments mixtes affouillés par les marées) au moyen de données in situ (imagerie). Les classes de paysage benthique (semblables aux classes de paysage en écologie terrestre) décrivent la géomorphologie et la biologie du fond marin, et découlent d’éléments du fond marin qui peuvent être distingués sur les plans acoustique et océanographique. Référence :Wilson, B.R., Brown, C.J., Sameoto, J.A., Lacharite, M., Redden, A. (2021). Mapping seafloor habitats in the Bay of Fundy to assess macrofaunal assemblages associated with Modiolus modiolus beds. Estuarine, Coastal and Shelf Science, 252. https://doi.org/10.1016/j.ecss.2021.107294Citer ces données comme suit:Wilson, B.R., Brown, C.J., Sameoto, J.A., Lacharite, M., Redden, A. Benthoscape de la Baie de Fundy. Publié en Mai 2023. Division de l’écologie des population, Pêches et Océans Canada, Dartmouth (Nouvelle-Écosse). https://open.canada.ca/data/en/dataset/dbabd17a-a2c7-4b3f-9bd8-a77a9c7f9c1c
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