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Examen de la documentation sur les effets des déversements de pétrole, particulièrement les produits du bitume, sur les organismes marins sur la côte ouest de la Colombie-Britannique, au Canada
Une analyse documentaire, mettant l'accent sur la toxicologie et les études écologiques des produits des sables bitumineux (p. ex., bitume dilué), des diluants, des agents de traitement des déversements et du pétrole brut dans le nord-est du Pacifique, a été préparée dans le cadre du Programme de sécurité de classe mondiale pour les navires-citernes. Seulement 14 des 763 références analysées portaient sur le bitume dilué ou d'autres pétroles bruts, ce qui indique la nécessité d'une recherche plus poussée au sujet des effets de ces produits sur le milieu marin. La recherche sur les diluants semble indiquer que les périodes d'évaporation et de dispersion de ces composantes sont relativement courtes; par contre leurs hauts niveaux de toxicité pourraient représenter une menace pour le biote marin. Les études historiques indiquent que les anciennes formulations d'agents dispersants avaient des répercussions écologiques potentielles; il est donc nécessaire d'évaluer pleinement les nouvelles formulations pour déterminer leurs répercussions possibles. Le non-respect des normes de toxicologie est encore fréquent, ce qui nuit aux analyses de sensibilité des espèces. Selon la documentation d'Exxon Valdez, les répercussions pour un type de pétrole donné peuvent varier grandement; il est donc important de recueillir des données de base et des renseignements sur l'état du rétablissement et de déterminer les paramètres écologiques pertinents.
Production de chaleur radiogénique par géothermie
Contexte :Plus de 80 % de la chaleur produite dans la croûte terrestre provient des roches granitoïdes. Lorsque des roches granitoïdes se forment, elles concentrent naturellement des éléments radioactifs tels que U, Th et K, et la désintégration radiogénique de ces éléments est une réaction exothermique. La désintégration radioactive de ces éléments au sein d'un corps granitoïde peut générer des anomalies thermiques locales et un gradient géothermique élevé à des niveaux de croûte relativement peu profonds. En combinaison avec d'autres propriétés locales de la roche (par exemple, porosité, perméabilité, conductivité thermique), la chaleur radiogénique peut générer une ressource géothermique. La désintégration des éléments radioactifs convertit la masse en énergie de rayonnement, qui à son tour est convertie en chaleur. Bien que tous les isotopes radioactifs naturels génèrent une certaine quantité de chaleur, seule la désintégration de 238 U, 235 U, 232 Th et 40 K. La production potentielle de chaleur est donc régie par les concentrations de U, de Th et de K dans la roche. Dans les roches ignées, la production de chaleur radiogénique dépend de la composition chimique de la roche et diminue en passant des types de roches acides (par exemple le granit) aux types de roches basiques et ultrabasiques. Par conséquent, les granites présentant des concentrations anormalement élevées de U, de Th et de K sont des cibles pour le calcul de la production potentielle de chaleur radiogénique. La production potentielle de chaleur radiogénique (A) à partir des roches plutoniques peut être calculée à l'aide de cette équation :A (\ \ U03BCW/m 3) =10 -5 \ \ U1D29 (9,52 cm u +2,56 cm K +3,48 cm Th)où « c » est la concentration des éléments radioactifs « U » et « Th » en ppm, et « K » en % ; et « \ \ u1D29 » est la densité de la roche. Les constantes de production de chaleur des radioéléments naturels U, Th, K sont respectivement de 9,525 x 10 -5, 2,561 x 10 -5 et 3,477 x 10 -9 W/kg.Données et méthodes :Les données géochimiques provenant de \ ~1760 échantillons de roches plutoniques du Yukon sont utilisées pour calculer la production potentielle de chaleur. Les valeurs calculées pour la production de chaleur radiogénique (A) sont tracées sur la distribution cartographiée des roches plutoniques du Paléozoïque et des roches plutoniques récentes et les principales failles crustales sont également indiquées à titre de référence.
Potentiel d'exploration pétrolière et gazière en mer
Potentiel d'exploration pétrolière et gazière en mer** Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie a été traduit à l'aide d'un outil de traduction automatisée (Amazon Translate). **
Raffineries - Coopération nord-américaine en matière d’information sur l’énergie
Installations qui séparent et transforment le pétrole brut ou d'autres matières premières en produits pétroliers liquides, y compris les usines de valorisation et les raffineries d'asphalte.Ressources cartographiques mises en oeuvre dans le cadre de la Coopération nord-américaine en matière d'information sur l'énergie (CNAIE) entre le département de l’Énergie des États‑Unis d’Amérique, le ministère des Ressources naturelles du Canada et le ministère de l’Énergie des États‑Unis du Mexique.Les agences et institutions participantes ne peuvent être tenues responsable de l'utilisation inappropriée ou incorrecte des données décrites et /ou contenues dans les présentes. Ces données n'ont pas de teneurs légales et ne sont pas destinées à être utilisées en tant que tels. L'information contenue dans ces données est dynamique et peut changer au fil du temps et peut différer d'autres informations officielles. Les agences et institutions participantes ne donnent aucune garantie, expresse ou implicite, quant à l'exactitude, la fiabilité, ou l'exhaustivité de ces données.
Abondance du ptéropode et dissolution des coquilles dans la partie canadienne de la mer de Beaufort et du golfe Amundsen
Le Programme d’évaluation environnementale régionale de Beaufort – Projet sur les poissons marins (2012-2014) et le Programme d’évaluation des écosystèmes marins de la mer de Beaufort au Canada (ÉÉM-MBC, 2017-présent) menés par Pêches et Océans Canada permettent de réaliser des relevés en mer des poissons et des écosystèmes marins sur le plateau et le talus de la partie canadienne de la mer de Beaufort en août et au début septembre. Les projets sont axés sur l’intégration de l’océanographie, les liens entre les réseaux alimentaires, les couplages physiques et biologiques et les variabilités spatiales et interannuelles, dans le contexte des changements en cours induits par le climat, y compris l’acidification accrue des océans. L’échantillonnage a été effectué à partir du navire de pêche Frosti à des stations le long de transects s’étendant de 20 à 1 000 m. On a collecté le zooplancton à l’aide d’un système de filets de type Bongo ou de filets multiples en conjonction avec un échantillonnage océanographique et biogéochimique.
Cartographie des sensibilités biologiques pour la planification et l’intervention en cas de déversement d’hydrocarbures, région du Québec
L’initiative « Planification pour une intervention environnementale intégrée » (PIEI) est sous l’égide du Plan de Protection des Océans (PPO) du gouvernement du Canada, programme qui vise à préserver les écosystèmes marins vulnérables à l’augmentation du transport et du développement de l’industrie maritime (https://pm.gc.ca/fra/nouvelles/2016/11/07/plan-de-protection-des-oceans-du-canada-preserver-et-restaurer-les-ecosystemes). La PIEI a été mise sur pied pour répondre aux recommandations formulées dans l’« Examen du régime canadien de préparation et d’intervention en cas de déversements d’hydrocarbures par des navires » publié en 2013 par le Comité d’experts sur la sécurité des navires citernes (https://tc.canada.ca/fr/transport-maritime/securite-maritime/comite-experts-securite-navires-citernes). L’une des recommandations invite Pêches et Océans Canada (MPO) à collaborer avec Environnement et changement climatique Canada (ECCC) pour recueillir et compiler des renseignements sur les espèces et les milieux sensibles pour chaque secteur d’intervention de la Garde côtière canadienne (GCC) et à les rendre accessibles au public.L’initiative de la PIEI a comme principal mandat de mettre à jour et de compléter les informations sur les sensibilités biologiques sous sa juridiction pour la préparation et l’intervention advenant un déversement d’hydrocarbures . Avec le MPO-Science, elle soutient le Centre National d’Urgence Environnementales (CNUE) d’ECCC ainsi que la GCC dans leurs préparations et leurs interventions par le biais du partage de données sur les sensibilités biologiques, du développement d’outils d’aide à l’intervention et de conseils d’experts.Dans cet ordre d’idée, le MPO a publié en 2018 une analyse visant à identifier les composantes les plus vulnérables du Saint-Laurent afin de les prioriser lors de la collecte des données si des lacunes étaient constatées (Desjardins et al. 2018). Cet exercice a permis de mettre en lumière la vulnérabilité de plusieurs composantes biologiques et d’importantes lacunes de données notamment en milieu côtier. Suite à ce constat, l’équipe de la PIEI de la région du Québec s’est lancé dans un projet en collaboration avec l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) pour réaliser la cartographie des herbiers de zostère, des marais maritimes ainsi que des bancs de macroalgues. En consultation avec d’autres producteurs de données du MPO-Science, l’équipe de la PIEI a aussi créé des jeux de données adaptés pour l’intervention, notamment sur les bivalves et les mammifères marins. Ces couches pourraient être utilisées pour la préparation et l’intervention en cas de déversement par le coordonnateur en incident environnementaux du MPO-région du Québec, le CNUE et la GCC. Plusieurs d’entre elles, jugées pertinentes dans les premiers 72 heures suivant un déversement, ont d’ailleurs été transmises au CNUE.
Estimations de la charge d'azote anthropique et des indicateurs d'eutrophisation pour la baie de Fundy et le plateau néo-écossais
L'apport excessif d'azote provenant des activités humaines d'utilisation des terres reste une cause majeure de l'eutrophisation des écosystèmes côtiers dans le monde. Cependant, il existe peu de données sur les taux de pollution par les nutriments ou ses impacts potentiels sur les écosystèmes côtiers du Canada atlantique. Pour combler cette lacune dans les connaissances, un cadre de modèle de charge d'azote (NLM) a été appliqué pour déterminer la charge d'azote totale (kg TN / an) à partir d'apports de sources ponctuelles et diffuses (eaux usées, dépôts atmosphériques, utilisation des terres, engrais applications et industries régionales) dans 109 bassins hydrographiques côtiers bordant la baie de Fundy et le plateau néo-écossais. Pour évaluer l'impact potentiel de la charge d'azote, deux indicateurs ont été calculés pour 40 baies côtières: (1) ∆N, une mesure de la résidence de l'azote qui prédit les problèmes d'oxygène dissous; et (2) le taux de charge de l'estuaire, un prédicteur du potentiel de perte de végétation aquatique submergée. Ce projet a été financé par Pêches et Océans Canada dans le cadre d'une subvention du Programme stratégique de recherche et d’avis fondés sur l’écosystème (PSRAFE). Cette recherche a été publiée dans la littérature scientifique (Kelly et al. 2021).Kelly, N.E., Guijarro-Sabaniel, J. and Zimmerman, R., 2021. Anthropogenic nitrogen loading and risk of eutrophication in the coastal zone of Atlantic Canada. Estuarine, Coastal and Shelf Science, 263, p.107630. doi: https://doi.org/10.1016/j.ecss.2021.107630Citer ces données comme suit : Kelly, N.E., Guijarro-Sabaniel, J. and Zimmerman, R. Données de: Estimations de la charge d'azote anthropique et des indicateurs d'eutrophisation pour la baie de Fundy et le plateau néo-écossais: Date de publication: Mars 2022. Division des sciences des écosystèmes côtiers, Pêches et Océans Canada, Dartmouth (Nouvelle-Écosse). https://open.canada.ca/data/fr/dataset/08746031-1970-4bf6-b6d4-3de2715c8634
Utilisation tout au long de l’année du carbone associé à la glace de mer dans les écosystèmes arctiques
Ce document contient une synthèse complète des résultats déjà publiés sur les isoprénoïdes hautement ramifiés (HBI), et fournit une évaluation quantitative spatiale et temporelle de la répartition du carbone dans l’écosystème marin arctique. Il valide les estimations des valeurs du carbone organique particulaire de la glace de mer (COPG) en tant que prédicteurs quantitatifs du carbone des algues glaciaires dans les réseaux trophiques de l’Arctique. Cette publication est le fruit d’une collaboration entre les intervenantss suivants : David Yurkowski (Pêches et Océans Canada), Lisa Loseto (Pêches et Océans Canada), Steve Ferguson (Pêches et Océans Canada), Bruno Rosenberg (Pêches et Océans Canada), C.W. Koch (Natural History Museum, Londres, Royaume-Uni; Center for Environmental Science de l'Université du Maryland, Maryland, États-Unis); T.A. Brown (Scottish Association for Marine Science, Oban, Écosse); R. Amiraux (Centre des sciences de l’observation de la Terre, Université du Manitoba, Canada); C. Ruiz-Gonzalez (Scottish Association for Marine Science, Oban, Écosse); M. Maccorquodale (Scottish Association for Marine Science, Oban, Écosse); G. Yunda-Guarin (Québec-Océan et Takuvik, Département de biologie, Université Laval, Canada); D. Kohlbach (Institut polaire de Norvège, Fram Centre, Tromsø, Norvège); N.E. Hussey (Biologie intégrative, Université de Windsor, Ontario, Canada).
Outil de gestion de l’environnement et des ressources pétrolières (OGERP) – Mer de Beaufort et delta du Mackenzie
Le jeu de données Mer de Beaufort et delta du Mackenzie provient de l’Outil de gestion de l’environnement et des ressources pétrolières (OGERP). L'outil en ligne a été mis hors service en 2019 et les données ont été transférées vers Open Data dans le but de les préserver.Affaires autochtones et du Nord Canada (AANC) a créé cet outil en ligne en 2009 afin de guider le développement de l’Arctique canadien. L'outil en ligne a permis de cartographier les sensibilités de diverses caractéristiques de l'Arctique, allant des baleines aux activités d’exploitation traditionnelles, dans l'ensemble de l'Arctique. L'outil visait à aider le gouvernement, les sociétés pétrolières et gazières, les groupes autochtones, les gestionnaires de ressources et les intervenants du public à mieux comprendre la répartition géographique des zones sensibles pour des raisons environnementales et socio-économiques.La zone d'étude et la résolution analytique ont été définies à l'aide de l’étendue quadrillée de pétrole et de gaz de la mer de Beaufort. La zone d'étude est le théâtre d'activités d'exploration pétrolière et gazière depuis 1957. Le pétrole a été découvert pour la première fois à Atkinson Point en 1969 et les principaux champs de gaz au début des années 1970. Ces découvertes ont motivé la proposition du pipeline de la vallée du Mackenzie en 1974, ainsi que l'ajout d'activités d'exploration et d'investissement à l'étranger. Les activités d'exploration et de forage se sont poursuivies à la fois sur la terre ferme et au large des côtes jusqu'au milieu des années 1970 avec la publication du rapport Berger, qui recommandait un moratoire de 10 ans sur la construction du pipeline. Après la publication du rapport Berger, l'activité sur terre a ralenti, mais l'exploration au large des côtes s'est intensifiée dans les années 1980. L’exploration au large des côtes a été facilitée par des techniques d’exploitation novatrices et de nouvelles plates-formes qui ont permis d’opérer plus efficacement au cours de la courte saison d’eaux libres et de la glace. À l'exception du gisement de petite taille de gaz terrestre situé à Ikhil, aucun pétrole ni gaz n'a été produit à un niveau commercial dans la région.AVERTISSEMENT: Veuillez vous reporter au document OGERP Avertissement ou à la section Contraintes sur la ressource - Limitation d'utilisation de la section Information additionnelle ci-dessous.Note : Ce jeu de données est un des trois (3) jeux de données qui découlent de l’OGERP qui comprend les jeux de données Extrême Arctique et Arctique de l’Est.
Traçage du flux de carbone et de la structure d’un réseau trophique marin côtier de l’Arctique à l’aide d’isoprénoïdes hautement ramifiés et d’isotopes stables du carbone, de l’azote et du soufre
OBJECTIF :Dans le cadre de cette étude, nous avons examiné la structure et la fonction du réseau trophique marin de l’île Southampton pour 149 espèces d’invertébrés benthiques et pélagiques, de poissons, de mammifères marins et d’oiseaux de mer prélevés entre 2016 et 2019 en vue de fournir une base de référence pour les études futures qui visent à quantifier les changements temporels dans la structuration du réseau trophique. Plus précisément, nous avons utilisé une approche à biomarqueurs multiples combinant des isotopes stables et des isoprénoïdes hautement ramifiés pour : i) déterminer la structure trophique verticale du réseau trophique marin, ii) étudier la contribution des proies benthiques et pélagiques aux espèces des niveaux trophiques supérieurs, et iii) déterminer le rôle des algues de glace et de l’utilisation des sources de carbone par le phytoplancton dans différents niveaux trophiques et compartiments (pélagiques et benthiques). En apportant un nouvel éclairage sur le fonctionnement du réseau trophique de l’île Southampton et plus particulièrement sur la façon dont la contribution des algues de glace et de l’habitat benthique façonne sa structure, ces résultats seront pertinents pour la gestion adaptative et les initiatives de conservation mises en œuvre en réponse aux facteurs de stress anthropiques et aux changements climatiques. DESCRIPTION :Les altérations de l’environnement marin découlant du climat sont plus rapides dans les régions arctiques et subarctiques, y compris la baie d’Hudson dans le nord du Canada, où le déclin de la glace de mer, le réchauffement des eaux de surface et l’acidification des océans se produisent à des rythmes alarmants. Ces changements modifient les régimes de production primaire, dont les répercussions finiront par toucher l’ensemble du réseau du réseau trophique. Ici, nous avons étudié i) la structure trophique verticale de l’écosystème marin de l’île Southampton dans le nord de la baie d’Hudson, ii) la contribution des proies benthiques et pélagiques aux espèces des niveaux trophiques supérieurs, et iii) la contribution relative des algues de glace et du carbone dérivé du phytoplancton dans le maintien de cet écosystème. À cette fin, nous avons mesuré les rapports isotopiques stables du carbone, de l’azote et du soufre ainsi que les isoprénoïdes hautement ramifiés dans les échantillons appartenant à 149 taxons, y compris des invertébrés, des poissons, des oiseaux de mer et des mammifères marins. Nous avons constaté que les invertébrés benthiques occupaient 4 niveaux trophiques et que le réseau trophique global atteignait une position moyenne au sein du réseau trophique de 4,8. La signature δ34S moyenne des organismes pélagiques indique qu’ils exploitent à la fois les sources d’aliments benthiques et pélagiques, ce qui veut dire qu’il existerait de nombreuses interconnexions entre ces compartiments dans cette zone côtière. La dépendance relativement élevée des mammifères marins de l’Arctique à l’égard du carbone sympagique (53,3 ± 22,2 %) par leur consommation de proies invertébrées benthiques confirme le rôle important du sous-réseau benthique pour le maintien des consommateurs de niveaux trophiques supérieurs dans l’environnement pélagique côtier. Par conséquent, une diminution potentielle de la productivité des algues de glace pourrait entraîner une altération profonde du réseau trophique benthique et un effet en cascade sur cet écosystème arctique.Collaborateurs:Centre des sciences de l’observation de la Terre, Université du Manitoba, Winnipeg, Manitoba, Canada - R’emi Amiraux, C.J. Mundy, Jens K. Ehn, Z.A. Kuzyk.Québec-Océan, Sentinelle Nord et Takuvik, Département de biologie, Université Laval, Québec, Québec, Canada - Marie Pierrejean.Association écossaise pour les sciences marines, Oban, Royaume-Uni - Thomas A. Brown.Département des sciences des ressources naturelles, Université McGill, Sainte-Anne-de-Bellevue, Québec, Canada - Kyle H. Elliott.Département des sciences biologiques, Université du Manitoba, Winnipeg, Manitoba, Canada - Steven H. Ferguson, Cory J.D. Matthews, Cortney A. Watt, David J. Yurkowski.École de l’environnement, Université de Windsor, Windsor, Ontario, Canada - Aaron T. Fisk.Direction générale des sciences et de la technologie, Environnement et Changement climatique Canada, Ottawa (Ontario), Canada - Grant Gilchrist.Collège des sciences de la pêche et de la mer, Université de l’Alaska Fairbanks, Fairbanks, AK, États-Unis - Katrin Iken.Département des sciences de la Terre, Université du Nouveau-Brunswick, Fredericton, N.-B., Canada - Audrey Limoges.Département de biologie intégrative, Université de Windsor, Windsor, Ontario, Canada - Oliver P. Love, Wesley R. Ogloff.Département de biologie arctique, Centre universitaire de Svalbard, Longyearbyen, Norvège - Janne E. Søreide.
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